Chabot

"chabot" dans l'encyclopédie

• ROHAN LES

  • Écrit par Hervé PINOTEAU
  • 2 619 mots

  Les Chabot (filiation prouvée 1131), devenus Rohan-Chabot et ducs de Rohan avec la pairie de France qui y est attachée (1648), continuent la tradition des Rohan en France.

• INDULGENTS

  • Écrit par Jean TULARD
  • 1 978 mots

  Pêle-mêle, fripons et indulgents, Danton, Desmoulins, Hérault de Séchelles, Westermann et les députés compromis dans la falsification du décret supprimant la Compagnie des Indes, Fabre d'Églantine, Chabot et Basire, sont condamnés à mort par le Tribunal révolutionnaire et exécutés le 5 avril 1794. Cette condamnation fit impression sur la Convention et commença de l'inquiéter sur les desseins de Robespierre.

• ANGO JEAN (1480-1551)

  • Écrit par Jean-Marcel CHAMPION
  • 2 148 mots

  Ango réplique par la guerre de course et fait subir de lourdes pertes au commerce de ses adversaires dont la diplomatie s'efforce, non sans succès, de corrompre l'entourage du roi, en particulier l'amiral de France Chabot. Parallèlement, il participe aux guerres de François Ier en assumant, pour une large part, les frais considérables d'armement de la flotte royale, notamment en 1544 et 1545 contre l'Angleterre.

• SÛRETÉ GÉNÉRALE COMITÉ DE (1791-1795)

  • Écrit par Michel EUDE
  • 2 291 mots

  Jusqu'en septembre 1793, le Comité est dominé par les personnalités de Chabot et de Basire, déjà membres du Comité de surveillance de la Législative. Autour d'eux gravitent des « députés d'affaires » très accessibles aux sollicitations des détenus et de leurs amis. Le 14 septembre 1793 la Convention renouvelle son Comité de sûreté générale. Ainsi se constitue (avec quelques additions postérieures) le Grand Comité de l'an II formé d'une douzaine de membres : Vadier (président), Amar, Moïse Bayle, Louis David (le peintre), Dubarran, Jagot, Élie Lacoste, Lavicomterie, Le Bas, Louis (du Bas-Rhin), Panis, Rühl, Voulland et, jusqu'en mars 1794, Guffroy.

• COUSIN JEAN, LE PÈRE (1490 env.-env. 1560) & LE FILS (1522 env.-env. 1594)

  • Écrit par Michèle GRANDIN
  • 2 441 mots

  Vers 1565, on élève dans la chapelle d'Orléans de l'église des Célestins à Paris le monument funéraire de Philippe Chabot, amiral de France. La contribution précise de Cousin le Père et de Cousin le Fils à cette œuvre est controversée ; on attribue au fils le cadre ornemental du monument et les quatre génies ailés traités dans un style maniériste très brillant.