Chabraque

"chabraque" dans l'encyclopédie

• TAPIR

  • Écrit par Marie-Claude BOMSEL
  • 2 407 mots
  • 1 média

  Proches des chevaux et des rhinocéros (ongulés à doigts impairs marchant sur le médian), les tapirs sont représentés par quatre espèces : le tapir à chabraque (Tapirus indicus), encore appelé tapir indien ou tapir malais, qui vit uniquement en Asie (Birmanie, Malaisie et Sumatra) ; le tapir terrestre (Tapirus terrestris), le tapir laineux (Tapirus pinchaque), et le tapir de Baird (Tapirus bairdi) qui, eux, plus petits, vivent en Amérique.

• CHACAL

  • Écrit par Marie-Claude BOMSEL
  • 2 850 mots
  • 2 médias

  Son pelage épais est, suivant les espèces, doré (chacal doré : Canis aureus), rayé noir et fauve (chacal rayé : Canis adustus), brun roux (chacal de Simien : Canis simensis) ou roux et gris ardoise sur le dos (chacal à chabraque : Canis mesomelas). Ses pattes sont fines et robustes, sa queue est touffue et noire à l'extrémité. Il mesure de 35 à 50 centimètres de hauteur, 80 centimètres à 1,40 mètre de longueur (queue comprise) et de 7 à 15 kilogrammes en fonction des espèces, le chacal rayé étant le plus petit.

• BÉART GUY (1930-2015)

  • Écrit par Hélène HAZERA
  • 5 937 mots
  • 1 média

  On est à l’heure des interprètes : Patachou (avec Temporel), Juliette Gréco (Il n’y a plus d’après) et Zizi Jeanmaire (La Chabraque, sur un texte de Marcel Aymé) l’imposent au grand public. En 1958, L’Eau vive est un succès. Assez vite Guy Béart séduit par sa voix presque orientale, et ses textes novateurs. On parle alors des « trois B »  : Brassens, Brel, Béart, en oubliant Ferré et bien d’autres.