Chatoyant
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe présent
Définition
- ayant des reflets changeants selon la luminosité et son orientation
Forme dérivée du verbe « chatoyer »
"chatoyant" dans l'encyclopédie
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RIEBECKITE
- Écrit par Michel GIBERT
- 1 124 mots
L'œil de tigre est une pierre semi-précieuse, brun-jaune chatoyant, formée de crocidolite altérée enrobée dans du quartz. La riebeckite est l'amphibole classique des granites alcalins ainsi que des syénites, parfois en association avec l'ægyrine, pyroxène sodique. La crocidolite se trouve dans les schistes cristallins, très rarement dans des roches volcaniques.
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FULIGULE À BEC CERCLÉ
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 082 mots
Le mâle présente un dos noir aux reflets pourpres et un plumage chatoyant sur la tête. Ses flancs sont gris, avec un croissant blanc qui borde ses ailes. La femelle possède une livrée marron et ses yeux sont cerclés de blanc. Mâle et femelle possèdent un anneau marron discret autour du cou. En revanche, on distingue nettement les deux anneaux blancs de leur bec gris-bleu.
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COLVERT
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 034 mots
- 1 média
En plumage nuptial, le mâle est facilement reconnaissable avec sa tête d'un vert chatoyant, parfois violette selon la lumière, sa poitrine d'un marron intense et son corps gris pâle. La femelle est brune mouchetée de jaune. Les deux sexes portent, sur chaque aile, une tache colorée (ou miroir) bleu violet qui est bordée de noir et de blanc. Leur bec est jaune, un peu plus verdâtre chez la femelle.
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VAN BAURSCHEIT JEAN-PIERRE, dit LE JEUNE (1699-1768)
- Écrit par Jean-Jacques DUTHOY
- 1 432 mots
Il est le meilleur représentant aux Pays-Bas de l'art rococo, toujours chatoyant, parfois à la limite de la surcharge, comme à l'hôtel Osterreith. Mais il sait aussi s'exprimer avec élégance et sobriété, comme à l'hôtel de ville de Lierre, chef-d'œuvre d'harmonie, d'un classicisme touché de grâce. Signe qui le rattache à la tradition flamande, la travée centrale est toujours ornée d'une entrée monumentale à colonnes et balcon, surmontée d'une lucarne en attique, avec fronton ou grande niche décorée.
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RIGAUD HYACINTHE (1659-1743)
- Écrit par Jean-Pierre MOUILLESEAUX
- 3 073 mots
- 2 médias
Une œuvre tardive représente le parlementaire Gaspard de Gueidan jouant de la musette (1735, musée d'Aix-en-Provence) ; en dépit du sujet « champêtre », l'allure demeure noble et le chatoyant coloris nous prouve (Rigaud ayant peint seul pour une fois) ses dons de peintre.