Chenu
- Adjectif masculin singulier
Définition
- blanchi par l'âge
"chenu" dans l'encyclopédie
-
CHENU MARIE-DOMINIQUE (1895-1990)
- Écrit par Jean JOLIVET et Émile POULAT
- 7 146 mots
Leur maître général remplace d'autorité les trois provinciaux français et exile quatre théologiens notoires : Chenu, Congar, Féret et Boisselot. Pour la seconde fois, le père Chenu accepte en silence. Pie XII meurt en 1958. Jean XXIII convoque un concile. Congar y sera appelé comme expert. Chenu y viendra en position plus modeste mais tout aussi influente : comme théologien d'un évêque de Madagascar qui avait été son élève.
-
CONGAR YVES (1904-1995)
- Écrit par Étienne FOUILLOUX
- 5 808 mots
Il y effectue ses trois années de théologie, puis se prépare à y enseigner sous la houlette amicale de celui qui en devient alors l'animateur intellectuel : Marie-Dominique Chenu. Un théologien œcuménique Ordonné prêtre en 1930, le jeune théologien commence ses cours d'apologétique et d'ecclésiologie deux ans plus tard, au moment précis où Chenu accède à la régence des études.
-
JOURNAL D'UN THÉOLOGIEN. 1946-1956 (Y. Congar)
- Écrit par Christian HERMANSEN
- 5 753 mots
Mais, vers 1930, jeune professeur au centre du Saulchoir dirigé par le père Chenu, l'intérêt pris à la pensée théologique et aux événements de l'Église le conduit à pousser et organiser son information. Il suit en effet de nombreuses affaires, les commentant et les répertoriant scrupuleusement en différents dossiers, documents, chronologies, articles de presse, etc.
-
DASTÉ JEAN (1904-1994)
- Écrit par Armel MARIN
- 2 914 mots
Il y aura eu, entre le Dasté de Zéro de conduite et celui de Beau Masque, cette longue parenthèse, cette vie exemplaire qui trouve son image la plus juste dans le comédien chenu débarquant à l'improviste dans les bistrots de Saint-Étienne pour proposer aux consommateurs ahuris un impromptu de sa façon. « La culture, dit-il un jour, oui..., c'est peut-être le temps d'écouter.
-
PRÊTRES-OUVRIERS
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 4 524 mots
Ils y furent encouragés par les recherches de Henri Godin, fondateur de la Mission de Paris (1943), l'impulsion du cardinal Suhard, archevêque de Paris (mort en 1949), et la réflexion théologique du père Chenu, qui légitimait leur sacerdoce, cela malgré la méfiance, l'hostilité, les dénonciations de catholiques influents, les craintes et les mises en garde d'évêques français et du Vatican.