Chevalière
- Nom féminin singulier
Définition
- en bijouterie, bague épaisse, généralement ornée d'initiales ou d'un motif
"chevalière" dans l'encyclopédie
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CHEVALIERS ROMAINS
- Écrit par Yann LE BOHEC
- 5 353 mots
Le chevalier voyait son nom inscrit dans un album. Il recevait un « cheval public », c'est-à-dire donné par l'État (les « chevaux privés » n'ont jamais existé que dans l'imagination de certains commentateurs), et le bénéficiaire rendait cette monture en cas d'accès à une magistrature, comme fit Pompée quand il devint consul en ~ 70. Le chevalier avait le droit de porter un anneau d'or, un vêtement particulier, la trabée, et une bande de pourpre étroite sur sa tunique ; enfin, il pouvait s'asseoir au théâtre dans des gradins réservés.
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PORTE-GLAIVE CHEVALIERS
- Écrit par Claude DUCOURTIAL-REY
- 1 023 mots
Appelé aussi ordre des Chevaliers du Christ de Livonie, créé vers 1202 par Albert de Buxhövden, évêque de Livonie. Celui-ci venait de fonder sur les rives de la Baltique la ville de Riga, et il institua, sur le modèle des ordres croisés, un ordre religieux et militaire destiné à évangéliser la Livonie, alors païenne. Mais les nouveaux chevaliers durent vite faire appel aux chevaliers Teutoniques, qui poursuivaient l'occupation de la Prusse, et les tractations aboutirent dès 1237 à la fusion des deux ordres.
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CHEVALIER MICHEL (1806-1879)
- Écrit par Bernard DUCROS
- 1 693 mots
Saint-simonien et rédacteur du Globe dans sa jeunesse, Michel Chevalier se rallia plus tard à l'Empire, qui fit de lui un conseiller d'État, un sénateur, un professeur au Collège de France. Devenu libéral, il fut l'instigateur, avec Richard Cobden, du traité de libre-échange de 1860 entre la France et la Grande-Bretagne ; il défendit les vertus pacificatrices du commerce, qui devait, selon lui, mener à la suppression des guerres.
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CHEVALIER MAURICE (1888-1972)
- Écrit par Jean-Claude KLEIN
- 2 420 mots
- 3 médias
La carrière de Maurice Chevalier, qui commença en 1899 dans un modeste « boui-boui » de Ménilmontant et s'étendit sur près de trois quarts de siècle, est sans conteste l'une des plus prestigieuses du monde du spectacle Chevalier ne fut d'abord qu'un jeune comique de café-concert, imitateur de Dranem et de Boucot. Sous l'emprise de Mistinguett, il prend une orientation nouvelle au sortir de la Grande Guerre, lorsqu'il s'impose comme le jeune premier, la vedette des revues et opérettes du Casino de Paris ou des Bouffes-Parisiens.
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CHEVALIER ÉTIENNE (1410-1474)
- Écrit par Jean FAVIER
- 961 mots
Issu d'une famille d'officiers dont la fortune était déjà faite, Étienne Chevalier fut d'abord au service du connétable de Richemont, puis du roi Charles VII, qui le nomma secrétaire en 1442, contrôleur général des aides en 1445, maître des comptes en 1449 et trésorier de France en 1452. L'un des principaux conseillers du roi, il fut choisi par celui-ci, de même que par Agnès Sorel, comme exécuteur testamentaire.