Chevauchée
- Nom féminin singulier
- Verbe au participe passé féminin singulier
Définition
- randonnée à cheval, voyage
Forme dérivée du verbe « chevaucher »
"chevauchée" dans l'encyclopédie
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ROCHES (Déformations) Charriages et chevauchements
- Écrit par Jean AUBOUIN
- 17 563 mots
- 10 médias
1) se rétablit la continuité entre l'unité chevauchée et l'unité chevauchante, montrant que le mouvement de celle-ci est de portée restreinte. Cette notion est plus utile que celles de « racine » et de « front » dans le cas des plis chevauchants (fig. 2) : en effet, la racine est, soit invisible parce que cachée sous la série chevauchante, soit visible parce que la série chevauchante a été enlevée par l'érosion, mais alors le front réel ne se voit plus (on dit qu'on voit le front d'érosion) ; ce n'est donc pas dans un plan perpendiculaire à l'axe d'un chevauchement qu'on peut rétablir la continuité de la série chevauchante avec la série chevauchée puisqu'on ne peut y voir à la fois racine et front.
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NĀSATYA
- Écrit par Jean VARENNE
- 445 mots
Il s'agit donc d'une forme ancienne (mais d'étymologie incertaine) du nom des dieux jumeaux dont la chevauchée annonce le lever du jour.
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FORD JOHN (1894-1973)
- Écrit par Jean-Louis LEUTRAT
- 9 596 mots
- 2 médias
Mais ce pessimisme apparaît déjà dans des films de 1939-1941 comme La Chevauchée fantastique, The Grapes of Wrath (Les Raisins de la colère, 1940) ou Qu'elle était verte ma vallée. Ford, depuis 1946, s'éloigne de la forme « classique ». Déjà La Chevauchée fantastique en prenait à son aise avec elle, à la fois par son double sommet dramatique (la poursuite de la diligence et le duel) et par le traitement itératif du paysage de Monument Valley dans un parcours géographique donné comme linéaire.
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APOCALYPSE NOW (F. F. Coppola), en bref
- Écrit par Joël MAGNY
- 1 238 mots
» Un spectacle fascinant, répulsif, tel ce bombardement au son de la « Chevauchée des Walkyries ». Et aussi une initiation, une manière de « tombeau de l'homme blanc », et un voyage au bout de la folie, qui trouve son acmé dans le grand monologue de Kurtz, interprété par Marlon Brando.
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L'HOMME QUI TUA LIBERTY VALANCE (J. Ford), en bref
- Écrit par Joël MAGNY
- 1 239 mots
John Ford (1894-1973) fut l'un des artisans majeurs de la mythologie du Far West, avec des films comme Le Cheval de fer (1924), La Chevauchée fantastique (1939) ou La Poursuite infernale (1946). Dans L'Homme qui tua Liberty Valance (1962), il reprend la thématique qui fonde le western depuis les origines : la lutte entre la liberté individuelle, si chère aux Américains, et la civilisation, entre la force pure et la loi.