Chiraquien
- Nom masculin singulier
- Adjectif masculin singulier
Définition
- en politique, relatif à Jacques Chirac
- en politique, partisan de la doctrine et de l'action politique de Jacques Chirac
"chiraquien" dans l'encyclopédie
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GALLEY ROBERT (1921-2012)
- Écrit par Charles-Louis FOULON
- 3 638 mots
- 1 média
Président de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques à partir de 1996, Robert Galley a réussi à transmettre son fief politique à un jeune chiraquien, membre du conseil national du R.P.R. depuis 1993, François Baroin, devenu maire de Troyes en 1995, à trente ans. À sa mort, le 8 juin 2012, l'U.M.P. a naturellement salué « un grand résistant, un grand gaulliste et un grand serviteur de l'État ».
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CINQUIÈME RÉPUBLIQUE Vue d'ensemble
- Écrit par Pierre BRÉCHON
- 6 331 mots
Après le double mandat chiraquien, Nicolas Sarkozy parvient à remporter l'élection de 2007 en se démarquant fortement de l'action de son prédécesseur. Cinq périodes – gaullienne, post-gaullienne, mitterrandienne, chiraquienne, sarkozyste – peuvent donc être distinguées pour brosser une histoire politique de la Ve République, rythmée par des élections qui sont devenues de plus en plus nombreuses.
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GISCARD D'ESTAING VALÉRY (1926-2020)
- Écrit par Gérard PONTHIEU et Encyclopædia Universalis
- 7 599 mots
- 4 médias
Et elles sont parfois mieux accueillies à gauche que dans l'électorat giscardien et plus encore chiraquien. Les tensions traditionnelles dans la Ve République entre le président et son Premier ministre culminent pendant l'été de 1976. Jacques Chirac souhaite des élections anticipées pour éviter la victoire de la gauche qui se profile. Valéry Giscard d'Estaing s'y oppose et, pour la première fois, un Premier ministre de la Ve République annonce sa démission devant les caméras de télévision.
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FAURE EDGAR (1908-1988)
- Écrit par Jean-Claude MAITROT
- 8 023 mots
- 1 média
Fidèle au « radicalisme fauriste », ses prises de position lui valurent d'être qualifié successivement de gaulliste, de giscardien ou de chiraquien, voire de barriste. Il aimait, pour justifier l'éclectisme de ses choix, rappeler que « ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est le vent qui change ».
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BALLADUR ÉDOUARD (1929- )
- Écrit par Bruno DIVE et Encyclopædia Universalis
- 7 678 mots
- 2 médias
Après la réélection de Jacques Chirac le 5 mai 2002 et la victoire de la droite aux législatives de juin, Édouard Balladur se porte candidat à la présidence de l'Assemblée nationale face au représentant officiel du groupe UMP, le chiraquien Jean-Louis Debré. Il se retire à l'issue du premier tour de scrutin, après avoir obtenu 163 voix. Il obtient la présidence de la commission des Affaires étrangères.