Débardeur
- Nom masculin singulier
Définition
- personne effectuant le débardage, le déchargement de marchandises
- maillot de corps sans manches, à large encolure
"débardeur" dans l'encyclopédie
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MEUNIER CONSTANTIN (1831-1905)
- Écrit par Jean-Paul BOUILLON
- 2 011 mots
- 1 média
Le Puddleur (1887), Le Débardeur d'Anvers (1890), Le Vieux Cheval de mine (1893), Le Semeur (1898) conduisaient ainsi à un grand monument que Meunier n'a pas eu le temps d'achever mais dont le titre résume l'ambition de sa vie : Glorification du Travail. Évitant presque toujours l'anecdote, expressif sans sentimentalité, « réaliste » mais très soucieux aussi de la forme et du style, l'art de Meunier atteignit d'emblée à une sorte de classicisme qui devait lui rallier tous les suffrages : « C'est un homme admirable.
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DAMAS LÉON GONTRAN (1912-1978)
- Écrit par Oruno D. LARA
- 3 785 mots
Au vrai, il cherche à remonter aux sources de son identité et ce cheminement difficile — vu l'époque — lui vaut l'opprobre de ses parents qui lui coupent les vivres, ce qui l'oblige à travailler comme débardeur et comme plongeur. Passionné de poésie, il apprend à connaître les poètes nègres des États-Unis d'Amérique : Langston Hughes, Alan Locke, Jean Toomer, Countee Cullen et Claude Mac Kay.
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DANS LA JUNGLE DES VILLES, Bertolt Brecht Fiche de lecture
- Écrit par Jean-Louis BESSON
- 4 976 mots
Shlink se fait alors débardeur pour subvenir aux besoins de la famille de son adversaire, tout en obligeant Marie, la sœur de Garga, et Jane, sa fiancée, à se prostituer. Peu à peu, Shlink redresse son entreprise et retrouve sa fortune. Marie se donne à lui ; Garga épouse Jane pour l'arracher à son rival, mais ses malversations le conduisent en prison.
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CHALIAPINE FIODOR (1873-1938)
- Écrit par Alain DUAULT
- 5 161 mots
- 2 médias
Il vagabonde d'emploi en emploi, débardeur sur la Volga, puis employé aux Chemins de fer transcaucasiens, se liant d'amitié avec un certain Alexis Maximovitch Pechkov – qui se fera bientôt connaître sous le pseudonyme de Maxime Gorki. Il étudie le chant en autodidacte, au hasard de précaires engagements ; il parvient même à intégrer la troupe d'un petit théâtre où sa belle voix de basse, souple et bien timbrée, est remarquée, un soir, par la sœur du compositeur Mikhaïl Glinka.
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ARGHEZI TUDOR (1880-1967)
- Écrit par Alain GUILLERMOU
- 7 000 mots
Bientôt, Arghezi abandonne la vie religieuse, se rend à Genève puis à Paris où il travaille comme marchand ambulant et comme débardeur, retourne à Genève où il fabrique des boîtiers de montre, et rentre enfin en Roumanie, où l'appellent ses obligations militaires, en février 1910. L'entrée en littérature Mêlé à la vie littéraire de Bucarest, il publie des vers et chroniques dans différentes revues, notamment dans Cronica (« La Chronique ») – qu'il a fondée lui-même, en 1915, avec son ami, Gala Galaction.