Décibel

"décibel" dans l'encyclopédie

• BELL ALEXANDER GRAHAM (1847-1922)

  • Écrit par Bruno JACOMY et Jacques MÉRAND
  • 4 938 mots
  • 1 média

  En souvenir de Graham Bell, on désignera sous le nom de « bel » – et plus couramment sous sa forme « décibel (dB) » – l'unité d’intensité acoustique.

• SONS Audiométrie

  • Écrit par André DIDIER
  • 18 542 mots
  • 7 médias

  Le bel et le décibel (du nom du physicien américain Graham Bell) sont des unités sans dimension, utilisées, en principe, pour exprimer le rapport des valeurs de deux puissances, le nombre de bels étant égal au logarithme décimal de ce rapport. On en déduit que 10, 20, 30 dB représentent respectivement un rapport d'intensités acoustiques de 10, 100 et 1 000.

• SONS Production et propagation des sons

  • Écrit par Michel BRUNEAU, André DIDIER et Jean-Claude RISSET
  • 73 189 mots
  • 15 médias

  Elle peut se mesurer en watt par centimètre carré, mais on lui préfère une unité moderne : le décibel. À proprement parler, le décibel est une unité relative, pour laquelle il faut choisir une intensité de référence. Par commodité, on prend souvent pour cette dernière l'intensité correspondant au seuil d'audibilité. Une conversation normale a alors une intensité d'environ 50 dB à une distance de quelques mètres.

• SONS Bruit

  • Écrit par Pierre BUGARD, Claude CARLES, Gérard MANGIANTE et Encyclopædia Universalis
  • 49 153 mots
  • 6 médias

  Mesurer les nuisances sonores On caractérise un bruit par son intensité exprimée dans une unité acoustique usuelle : le décibel (dB). On traduit par là la notion subjective de « niveau sonore » situant un phénomène sur une échelle qui va de faible à fort. L'audition humaine n'étant pas également sensibles à toutes les fréquences, divers filtres (de type A, B ou C) sont utilisés pour déterminer les amplitudes relatives de fréquence qui composent un bruit environnemental particulier.

• TÉLÉCOMMUNICATIONS Histoire

  • Écrit par René WALLSTEIN
  • 103 030 mots
  • 24 médias

  Le décibel, un hommage à Graham Bell L'atténuation en ligne des courants est due aux pertes par effet joule – liées à la résistance électrique des lignes – ainsi qu'aux pertes par rayonnement électromagnétique. En 1925, l'assemblée générale de l'Union internationale des télécommunications a baptisé bel l'unité d'atténuation, en hommage à l'inventeur du téléphone.