Déclic

"déclic" dans l'encyclopédie

• SPITZER LEO (1887-1960)

  • Écrit par Georges MOLINIÉ
  • 2 903 mots

  Si c'est l'inverse qui se produit, c'est qu'on s'est trompé, soit dans la vérification de l'impression provisoirement globalisante à la réception, soit dans la pertinence du déclic factuel faussement significatif. On admettra sans peine, par exemple, que pour « l'effet de sourdine dans le style classique : Racine », l'analyse a suivi des voies particulièrement fécondes.

• HÄKKINEN MIKA (1968- )

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 2 144 mots
  • 1 média

  Un déclic dans la carrière du Finlandais. En 1998, Mika Häkkinen, au volant de la McLaren-Mercedes, s'adjuge huit victoires et est couronné champion du monde de formule 1, malgré la résistance de Michael Schumacher sur Ferrari. L'année 1999 est plus chaotique pour le Finlandais : son coéquipier David Coulthard l'accroche à deux reprises ; le patron du team, Ron Dennis, refuse de donner des consignes d'équipe destinées à favoriser la conquête d'un second titre mondial pour Häkkinen.

• LENDL IVAN (1960- )

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 2 120 mots
  • 1 média

  Le déclic se produit à Roland-Garros en 1984. Mené 2 sets à 0 par John McEnroe au sommet de son art, il parvient enfin à inverser la tendance et remporte son premier tournoi du Grand Chelem (3-6, 2-6, 6-4, 7-5, 7-5). Ce moment marque le début d'une magnifique carrière. Ivan Lendl s'impose ainsi de nouveau à Roland-Garros en 1985 (face au Suédois Mikael Pernfors) puis en 1987 (contre le Suédois Mats Wilander).

• CHAVEZ CESAR (1927-1993)

  • Écrit par Marie-France TOINET
  • 2 960 mots
  • 1 média

  Le déclic et l'heure de gloire surviennent en 1968 lorsque, à la suite d'une grève de la faim d'un mois, Robert Kennedy, alors en pleine campagne électorale, va le voir et lui fait accepter (devant les caméras) une tranche de pain. Dès lors, le boycottage jusqu'ici inconnu prend une importance nationale : 17 millions de personnes, dit-on, refusent de manger du raisin californien.

• KOLTÈS BERNARD-MARIE (1948-1989)

  • Écrit par Raymonde TEMKINE
  • 3 086 mots
  • 2 médias

  Cette fois, c'est, à New York, un visage d'assassin placardé dans le métro qui a été le déclic de la pièce.