Déferré
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe passé masculin singulier
Définition
- qualifie un sabot dont le fer a été enlevé
Forme dérivée du verbe « déferrer »
"déferré" dans l'encyclopédie
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DEFFERRE GASTON (1910-1986)
- Écrit par Christian SAUVAGE
- 7 734 mots
Gaston Defferre est né le 14 septembre 1910 à Marsillargues (Hérault), dans une famille protestante. Son père, avoué, le conduit à choisir des études de droit. Après le lycée de Nîmes, Gaston Defferre s'inscrit à la faculté d'Aix-en-Provence, où il obtient une licence de droit et un diplôme supérieur d'économie politique. Souci d'indépendance ? Il quitte à vingt et un ans sa famille pour Dakar, où il découvre l'outre-mer, qui jouera un rôle important dans sa carrière politique.
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SIGNORET SIMONE (1921-1985)
- Écrit par Didier MÉREUZE
- 9 644 mots
- 1 média
Elle tourne à Hollywood Verdict de Peter Grenville (Term of Trial, 1961), La Nef des fous de Stanley Kramer (Ship of Fools, 1965), Le Diable à trois de Curtis Harrington (Games, 1967), La Mouette de Sydney Lumet (The Seagull, 1969), tout en poursuivant sa carrière en France avec des films comme Le Jour et l'heure de René Clément (1963), L'Armée des ombres de Jean-Pierre Melville (1969), Le Chat de Pierre Granier-Deferre (1971), Rude Journée pour la reine de René Allio (1973), Judith Therpauve de Patrice Chéreau (1978), L'Étoile du Nord (1982), là encore de Pierre Granier-Deferre et qui marqua sa dernière apparition au cinéma.
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WILSON LAMBERT (1958- )
- Écrit par René PRÉDAL
- 2 979 mots
) Sa beauté sculpturale lui permet d'incarner aussi bien une figure proche de la sainteté (l'abbé Pierre dans Hiver 54, Denis Amar, 1990) qu'un vulgaire « flic ripoux » (L'Homme aux yeux d'argent, Pierre Granier-Deferre, 1985) et quand il explore, dans un film réalisé par son père, les marges du fantastique à la suite de Marcel Aymé, il s'enlise, faute de parvenir à choisir entre le mythe et le pittoresque rural (La Vouivre, 1989).
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DEWAERE PATRICK (1947-1982)
- Écrit par André-Charles COHEN
- 3 489 mots
- 1 média
D'autres films de jeunes auteurs, ou des productions plus commerciales n'apportent rien à sa jeune gloire, si ce n'est un changement de peau : policier dans Adieu Poulet de Pierre Granier-Deferre (1975), ou juge dans Le Juge Fayard dit le « Shérif » d'Yves Boisset (1977). En 1978, il trouve un assez bon rôle de footballeur dans Coup de tête de Jean-Jacques Annaud.
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VENTURA LINO (1919-1987)
- Écrit par Raymond CHIRAT
- 3 518 mots
Il pouvait aussi bien jouer la comédie (La Métamorphose des cloportes, de Pierre Granier-Deferre, 1964 ; L'aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch, 1971 ; L'Emmerdeur d'Édouard Molinaro, 1973 ; La Gifle de Claude Pinoteau, 1974) que parodier son propre personnage (une série de films entre 1963 et 1965 avec Georges Lautner). Jean-Pierre Melville lui fournit par deux fois l'occasion d'affirmer ses qualités de sobriété et d'efficacité (Le Deuxième Souffle, 1966 ; L'Armée des ombres, 1969).