Dénomination
- Nom féminin singulier
Définition
- appellation, nom donné
"dénomination" dans l'encyclopédie
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ENZYMES Dénomination et classification
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 4 614 mots
- 1 média
Les enzymes sont des protéines catalytiques qui fonctionnent comme les « machines-outils » du métabolisme cellulaire. Le nombre d'enzymes différentes varie selon les organismes ; il en existe chez l'homme environ 15 000. Certaines enzymes sont présentes dans toutes les cellules : ce sont celles qui assurent les fonctions de base du métabolisme cellulaire.
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DYSGÉNÉSIE
- Écrit par Georges TORRIS
- 1 002 mots
On parle encore de dysgénésies gonadiques, mais, plus souvent et à juste titre, on préfère la dénomination de syndrome de Turner pour désigner l'association d'un nanisme féminin avec cou palmé (pterygium colli) et d'un infantilisme avec atrophie ovarienne attribuée à un caryotype haplo-X, et la dénomination de maladie de Klinefelter pour désigner l'association d'une stérilité mâle (atrophie testiculaire, azoospermie) avec morphologie gynandroïde liées toutes deux à un caryotype Y-diplo-X.
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LES RÉPUBLICAINS (LR), parti politique
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 721 mots
adopte officiellement la nouvelle dénomination. Cela ne se fait ni sans quelques grincements de dents, essentiellement à gauche, ni sans un recours en justice (non suivi d’effet), en juin et en septembre 2015, visant à empêcher une « appropriation du bien commun » que constitue selon les plaignants l’utilisation du nom « Les Républicains ». (Voir également U.
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PRÊCHEURS ORDRE DES
- Écrit par André DUVAL
- 360 mots
Dénomination officielle — sanctionnée en janvier 1217 par le pape Honorius III — de l'ordre fondé par saint Dominique à Toulouse et dont les membres sont habituellement appelés dominicains. Le nom de jacobins, qui fut donné aux frères installés rue Saint-Jacques à Paris en 1218, s'est étendu en France, au cours du xiiie siècle, à l'ensemble des dominicains.
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DÉSINENCE
- Écrit par Nicole QUENTIN-MAURER
- 659 mots
La dénomination est à la rigueur acceptable pour le domaine indo-européen, mais pose de sérieux problèmes lorsqu'on doit analyser une langue dont les variations morphologiques sont, par exemple, infixées, ou reposent sur des alternances vocaliques.