Déployé

"déployé" dans l'encyclopédie

• KURAMATA SHIRO (1934-1991)

  • Écrit par Brigitte FITOUSSI
  • 3 024 mots

  Sa poétique de la forme, ironique et insaisissable à la fois, s'allie au fonctionnel par des jeux de tiroirs secrets, semainiers aux formes sinueuses (Side 1, 1970) ou géométriques – le thème du tiroir lui est cher –, lampe fantôme drapée de plastique (Oba-Q, 1972), chaise en métal déployé ; fauteuil en Plexiglas décoré de roses synthétiques (Miss blanche, 1988).

• GÜNTHER MATTHÄUS (1705-1788)

  • Écrit par Pierre VAISSE
  • 809 mots

  Il a déployé son activité en Bavière (église de Rottenbuch, 1742 ; église de Rott am Inn, 1763), mais aussi au Tyrol (église du monastère de Wilten près d'Innsbruck, 1754 ; église du monastère de Novicella près de Bressanone, 1736 et 1743).

• GOLDENWEISER ALEXANDER (1880-1940)

  • Écrit par Jean POIRIER
  • 1 348 mots

  Son apport à la science anthropologique s'est déployé dans plusieurs directions : ethnographiques, avec des enquêtes de terrain ; didactiques, avec la publication du premier traité général d'anthropologie en américain (Early Civilization, 1912) et de l'ouvrage Anthropology (1937) ; théoriques enfin, avec une interprétation du totémisme et surtout une réinterprétation du diffusionnisme.

• MORELLO JOE (1928-2011)

  • Écrit par Michael RAY
  • 1 358 mots

  Le batteur américain Joe Morello a déployé son inventivité et sa virtuosité au sein du quartette de Dave Brubeck de 1956 à 1967. Joseph Albert Morello naît le 17 juillet 1928, à Springfield, dans le Massachusetts. Prodige du violon dans son enfance, il se tourne pourtant vers la batterie à l'adolescence. Lorsqu'il rejoint le quartette du pianiste Dave Brubeck en 1956 (où il se trouve aux côtés de Paul Desmond au saxophone alto et de Gene Wright à la contrebasse), il possède une expérience impressionnante, puisqu'il a déjà travaillé, entre autres sommités, avec le guitariste Johnny Smith et avec le pianiste et chef d'orchestre Stan Kenton.

• GASTON III dit PHÉBUS (1331-1391) comte de Foix (1343-1391)

  • Écrit par Jean FAVIER
  • 1 722 mots

  Faute d'une croisade, il avait déployé son ardeur chevaleresque contre les païens de Prusse ; il était revenu en France à temps pour prendre part, en 1358, à la lutte contre les jacques dans la région parisienne. Il dut son surnom à son goût pour les belles-lettres, ainsi qu'à sa chevelure blonde. Il composa lui-même un Traité de l'art de la chasse.