Déshydraté

"déshydraté" dans l'encyclopédie

• DÉSHYDRATATION, médecine

  • Écrit par François BOURNÉRIAS
  • 2 184 mots

  On distingue trois grands types de déshydratation. La déshydratation globale, où la perte en eau et en sodium est proportionnelle, provoquée souvent par des pertes d'origine digestive : diarrhées, vomissements, fistules. Dans ce type de déshydratation, la natrémie est souvent peu modifiée. La déshydratation extracellulaire, où la perte en sodium a été largement prédominante et souvent provoquée par des pertes d'origine rénale, peut être notamment induite par des diurétiques.

• ALDOLS & CÉTOLS

  • Écrit par Jacques METZGER
  • 7 727 mots
  • 1 média

  Par chauffage prolongé à 200 0C, sous pression, de l'acétone en présence d'une faible quantité de soude, il se forme successivement le diacétone alcool qui se déshydrate en oxyde de mésityle ; celui-là réagit, dans une addition de Michael, avec une troisième molécule d'acétone (énolate) pour donner une 3,5,5-triméthylcyclohexène-2-one, isomère cyclique de la phorone et appelée isophorone (réaction 10).

• DIOPTASE

  • Écrit par Guy TAMAIN
  • 2 098 mots

  Elle se déshydrate quand elle est chauffée. Au chalumeau, sur le charbon, elle devient noire au feu oxydant et rouge au feu réducteur, en colorant la flamme en vert. Sur le charbon, avec la soude, elle donne du cuivre métallique. Elle est soluble dans les acides, en faisant gelée. Elle est partiellement attaquable par l'ammoniaque, en donnant une solution bleue et en laissant un résidu de silice floconneuse.

• NITRILES

  • Écrit par Jacques METZGER
  • 9 863 mots
  • 1 média

  Les amides résultant de l'ammonolyse des esters, on fait passer un mélange des vapeurs d'un ester carboxylique et d'ammoniac sur un catalyseur d'alumine à 350 0C ; l'amide intermédiaire est déshydraté : Les nitriles se préparent également par déshydratation des aldoximes ou par thermolyse des phénylhydrazones d'aldéhydes en présence de chlorure cuivrique : Les méthodes les plus intéressantes sont de nature synthétique.

• 2003 90^e Tour de France

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 8 784 mots

  Mais, déshydraté en raison de la canicule, il connaît une nouvelle désillusion : Jan Ullrich s'impose nettement, reléguant Armstrong à 1 min 36 s. Pour beaucoup, l'Allemand, revenu à 34 secondes de l'Américain au classement général, se pose désormais en favori de l'épreuve, d'autant qu'il grignote encore 19 secondes le lendemain (Toulouse-Ax 3 Domaines, 197,5 km).