Débite
- Nom féminin singulier
- Verbe à l'indicatif présent 1e personne du singulier
Définition
- vente au détail de timbres fiscaux et vignettes
Forme dérivée du verbe « débiter »
"débite" dans l'encyclopédie
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INTERNET À HAUT DÉBIT
- Écrit par Gabriel GACHELIN
- 1 330 mots
Concernant les technologies, l'année 2004 fut en France celle de la généralisation d'Internet à haut débit, appelé DSL (pour digital subscriber line, « ligne numérique d'abonné », ADSL pour asymmetric digital subscriber line). En quelques mois, en effet, les opérateurs de télécommunication et les fournisseurs d'accès à Internet raccordent plusieurs millions d'abonnés à Internet à haut débit, en se servant du réseau téléphonique, le réseau de télécommunication le plus répandu au monde.
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SÉQUENÇAGE HAUT DÉBIT DE L'ADN
- Écrit par Véronique BLANQUET, Nathalie DUPRAT et Lionel FORESTIER
- 31 134 mots
- 8 médias
Cependant, depuis les années 2000, on peut parler de « révolution technologique » dans le domaine de la génomique avec l’émergence de plusieurs technologies innovantes, y compris dans le domaine du séquençage, qui ont permis d’entrer réellement dans l’ère haut débit ou NGS (next generation sequencing, « séquençage de nouvelle génération », de « deuxième génération » ou « haut débit »).
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GARONNE
- Écrit par Jean de BEAUREGARD
- 4 474 mots
- 2 médias
Il débite 625 m3/s, plus que la Seine, soit 11,1 l/s/km2 ou 350 mm, ce qui lui vaut la deuxième place, après le Rhône, en alimentation spécifique. Des crues puissantes et d'origines diverses rendent son voisinage périlleux. Prenant sa source en Espagne, vers 2 200 m, au pied de la Maladetta, la Garonne suit au départ sa direction générale vers le nord-ouest qu'elle retrouvera après le confluent du Tarn, après une large boucle vers l'est de Saint-Gaudens à Malause par Toulouse.
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OUABAÏNE
- Écrit par Philippe COURRIÈRE
- 2 457 mots
Pour l'extraire, on débite le bois de l'ouabaïo en petits copeaux qu'on épuise par de l'eau chaude ; on réalise une défécation à l'acétate neutre de plomb qu'on élimine par l'acide sulfurique ; après filtration, on traite par l'alcool à l'ébullition ; on évapore et on obtient des cristaux (3 g pour 1 kg de bois). À partir du Strophantus, on pulvérise les graines, on épuise à l'alcool que l'on élimine ensuite par distillation sous vide, on traite le résidu par l'eau et on évapore à sec.
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CASTOR
- Écrit par Marie-Claude BOMSEL
- 2 819 mots
- 1 média
Grâce à la puissance de ses incisives à croissance continue, il abat des arbres entiers et débite les branches qu'il consomme sur place ou qu'il transporte et accumule sous l'eau (en les maintenant par des pierres), dès l'automne, près de la hutte et du barrage qu'il a construits. Le barrage permet d'assurer une profondeur d'eau suffisante pour maintenir l'entrée de la hutte sous le niveau d'eau.