Décevant
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe présent
Définition
- trompeur, qui provoque la déception, une déception
Forme dérivée du verbe « décevoir »
"décevant" dans l'encyclopédie
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ÉRYTHROCYANOSE
- Écrit par Pierre de GRACIANSKY
- 470 mots
Ces manifestations, exagérées par le froid, liées à des troubles endocrino-sympathiques complexes, n'ont en général qu'un inconvénient esthétique ; leur traitement est décevant.
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ROSSI PAOLO (1956-2020)
- Écrit par Pierre LAGRUE et Encyclopædia Universalis
- 792 mots
Après un premier tour décevant, il lui maintient sa confiance. Raison lui sera donnée : trois buts contre le Brésil, deux face à la Pologne, un en finale face à l'Allemagne, Paolo Rossi apporte à la Squadra Azzura, avec Dino Zoff pour capitaine, sa troisième Coupe du monde. Élu Ballon d'or (meilleur joueur européen) en 1982, Paolo Rossi compte 48 sélections en équipe d'Italie.
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GINGIVITE
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 1 044 mots
Le traitement est décevant : l'antibiothérapie notamment n'a pas une efficacité suffisante. L'hygiène buccodentaire est donc essentielle à la guérison des gingivites banales. Certaines poussées inflammatoires gingivales s'observent encore sur des terrains prédisposés (causes endocriniennes ou métaboliques chez les goutteux ou les diabétiques) ; d'autres, caractérisent diverses intoxications, souvent médicamenteuses (sels d'or, arsenic, mercure), des hémopathies ou des maladies infectieuses graves (syphilis, tuberculose).
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KEMPE MARGERY (1373 env.-env. 1440)
- Écrit par Jean-Robert ARMOGATHE
- 984 mots
L'intérêt de cette autobiographie (la plus ancienne du genre en langue anglaise) vient de ce que Margery Kempe n'est pas une recluse, mais une femme du monde ; précieux comme document psychologique et historique, Le Livre de Margery Kempe est néanmoins un peu décevant sur le plan spirituel.
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DRIEU LA ROCHELLE PIERRE (1893-1945)
- Écrit par Dominique FERNANDEZ
- 6 403 mots
Décevant et fascinant, fascinant malgré lui et décevant par sa faute, ployant comme une tige trop frêle sous l'abondance même de ses dons, Drieu laisse des livres qui ne sont qu'à moitié réussis. Son chef-d'œuvre, avec La Comédie de Charleroi, est sans doute L'Intermède romain, longue nouvelle (publiée à titre posthume dans les Histoires déplaisantes, 1964) qui tient des mémoires, de l'essai et de la fiction, et place Drieu dans la lignée de Constant, de Baudelaire, des anxieux sauvés par l'analyse, beaucoup plus que dans celle des « chefs », Nietzsche ou Malraux.