Démenti

"démenti" dans l'encyclopédie

• DOUAI JACQUES (1920-2004)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 657 mots

  Son vaste répertoire, environ 250 chansons, mêlait à l'envi les textes des poètes modernes, comme Aragon, et les vieilles chansons françaises comme Colchiques dans les prés, dont le succès ne s'est jamais démenti. En 1982, il crée avec sa femme, la danseuse Ethery Pagava, le Théâtre du Jardin d'acclimatation, à Neuilly-sur-Seine. Il a remporté à trois reprises le prix de l'Académie Charles-Cros (1954, 1962, 1968).

• TRÉJAN GUY (1921-2001)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 626 mots

  D'emblée, il fait le choix, jamais démenti, de la diversité, ce qui le conduit à interpréter tour à tour Bernstein, Pirandello, André Roussin ou Thomas Bernhard. Sous la direction de Roger Planchon, il est en 1974 un formidable Tartuffe. En 1983, il participe à une autre mise en scène historique : La Cerisaie de Tchekhov, montée par Peter Brook aux Bouffes du Nord.

• CHAISE LONGUE "B306" (Le Corbusier, P. Jeanneret, C. Perriand)

  • Écrit par Simon TEXIER
  • 848 mots

  Son succès, qui ne s'est jamais démenti, conduira Charlotte Perriand à en tenter une transposition en bambou. Éditée dans un premier temps par la firme Thonet, la chaise longue « B306 » est, depuis les années 1960, exclusivement diffusée par Cassina.

• BARBERINO ANDREA DI JACOPO DE MANGABOTTI dit ANDREA DA (1370 env.-apr. 1431)

  • Écrit par Claude MINOT
  • 1 023 mots

  Son succès, établi par une société bourgeoise qui voulait se constituer une littérature agréable et utile, ne s'est pas démenti : malgré l'avis des critiques qui le considèrent comme un auteur médiocre au style monotone (Barberino use de procédés simples mais efficaces), on lit encore aujourd'hui Les Royaux de France ou le Guerrino il Meschino, devenus des classiques de la culture populaire.

• BONALD LOUIS-AMBROISE DE (1754-1840)

  • Écrit par Colette CAPITAN PETER
  • 4 912 mots

  Un démenti à l'esprit du siècle L'œuvre philosophique et politique de Bonald se présente comme un vaste démenti aux théories et aux idées révolutionnaires issues des encyclopédistes et de J.-J. Rousseau. Pour Bonald, l'idée contenue dans le Contrat social est une idée fausse, contredite par les faits. Les individus, dit Bonald, ne peuvent agir sur les lois qui règlent la vie en société, moins encore en être les auteurs, car ils ne sont rien en eux-mêmes.