Demi-cône

"demi-cône" dans l'encyclopédie

• TROMPE, architecture

  • Écrit par Maryse BIDEAULT
  • 1 090 mots

  Une maçonnerie appareillée en forme de demi-cône, ou plus rarement en cul-de-four comme à la cathédrale du Puy, assure le passage de l'angle à l'arc. La coupole sur trompes a une forme octogonale à la base, contrairement à la coupole sur pendentifs qui est parfaitement circulaire. La coupole sur trompes est très employée dans l'architecture romane d'Occident, tant pour couvrir des nefs centrales comme à la cathédrale du Puy ou à Champagne en Ardèche, que de croisées de transept comme à Sainte-Foy de Conques.

• THORAX

  • Écrit par Claude GILLOT
  • 15 730 mots
  • 2 médias

  Un poumon représente un demi-cône, dont la face interne ou médiastinale est à peu près plane ; la face externe, convexe, est moulée sur les côtes et les muscles intercostaux. La base, inférieure, fortement excavée, repose sur la coupole diaphragmatique ; le sommet fait hernie à la base du cou, au-dessus de l'arc de la 1re côte. La face médiastinale possède une fossette à peu près centrale, le hile ; il se prolonge en bas, en queue de raquette, par le ligament triangulaire.

• RESPIRATOIRE (APPAREIL) Anatomie

  • Écrit par Claude GILLOT, René PIÉRON, Albert POLICARD et Encyclopædia Universalis
  • 27 910 mots
  • 6 médias

  Il a la forme d'un demi-cône, avec une face médiale, dite médiastinale, à peu près plane, et une face périphérique convexe, ou costo-vertébrale. La base, fortement excavée, s'appuie sur la coupole diaphragmatique. Le sommet, ou dôme, atteint la base du cou, au-dessus de la première côte et de la clavicule. Chaque poumon est partagé en lobes par des fentes profondes, les scissures.

• CALCUL INFINITÉSIMAL Calcul à plusieurs variables

  • Écrit par Georges GLAESER
  • 29 942 mots

  Son graphe est un demi-cône dont le sommet est à l'origine ; il ne possède donc pas de plan tangent en ce point. Par contre, on montre que toute fonction qui admet des dérivées partielles continues par rapport à l'ensemble des variables est nécessairement dérivable. Dérivées successives Supposons que la fonction dérivée M ↦ D1f (M) soit elle-même dérivable : sa dérivée D1(D1f)(M) appartient à L[E, L(E,F)].