Deo gratias

"deo gratias" dans l'encyclopédie

• ROSENTHAL MANUEL (1904-2003)

  • Écrit par Alain PÂRIS
  • 4 097 mots

  Sa musique religieuse reflète un profond attachement au catholicisme, auquel il s'est converti dans sa jeunesse : Cantate pour le temps de la Nativité (1944), Missa Deo gratias (1953). Avec Offenbachiana (1953), il tente de renouveler, avec moins de réussite, le succès de Gaîté parisienne. Il a également écrit de nombreuses mélodies et des pièces pour piano.

• IMITATION, musique

  • Écrit par Sophie COMET
  • 6 357 mots

  Le nombre de voix est très variable : jusqu'à trente-six, dans le célèbre Deo gratias de Johannes Ockeghem.

• OCKEGHEM JOHANNES (1410 env.-1497)

  • Écrit par Pierre-Paul LACAS
  • 12 462 mots

  Certes, il fut l'un des très grands maîtres du contrepoint, aucune prouesse d'écriture ne l'effrayait : témoin, le fameux canon Deo gratias à trente-six voix (mais celui que l'on connaît est-il bien de sa plume ?) ou une fugue à trois voix dans laquelle un canon à la quarte pose un problème dont la solution demeure controversée ; mais « nul moins que lui n'a sacrifié la beauté à l'étalage de la technique » (Nanie Bridgman).