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Dermo-épidermique

  • Adjectif singulier invariant en genre

Définition

  1. en anatomie, relatif à la jonction entre le derme et l'épiderme

"dermo-épidermique" dans l'encyclopédie

  • GREFFES DE TISSUS CUTANÉS

    • Écrit par Jean THIVOLET
    • 4 177 mots

    En trois ou quatre semaines, la jonction dermo-épidermique est complète, mais reste fragile pendant des mois, et des bulles de friction pourront survenir. La maturation complète des fibres d'ancrage et la régénération du festonnement dermo-épidermique demandent un an ou plus ; le tissu conjonctif sous-jacent se modifie lentement mais, après quatre ans, il a toutes les apparences du derme normal.

  • BULLE, dermatologie

    • Écrit par Pierre de GRACIANSKY
    • 1 863 mots
    • 1 média

    Dans celle-ci, les bulles, par clivage dermo-épidermique, sont accompagnées d'autres types éruptifs et de signes fonctionnels, mais l'état général est classiquement conservé. Les recherches immunologiques tendent à opposer dans ce groupe la pemphigoïde à grosses bulles et la dermatite herpétiforme. Les bulles de l'érythème polymorphe se disposent en cocarde plus ou moins complète (herpès iris) et sont caractérisées à l'examen histologique par une nécrose de leur toit.

  • PEAU

    • Écrit par Louis DUBERTRET
    • 45 489 mots
    • 2 médias

    Le type I prédomine dans le derme moyen, le type III dans la peau fœtale et dans le derme superficiel (réticulaire), le type IV est le principal composant de la jonction dermo-épidermique, le type VII est particulièrement intéressant car il joue un rôle majeur dans la cohésion dermo-épidermique. Ce collagène VII est défectueux dans une maladie génétique, l'épidermolyse bulleuse dystrophique, ce qui provoque de vastes décollements bulleux au moindre frottement de la peau.

  • MATRICE INTERCELLULAIRE ou MATRICE EXTRACELLULAIRE

    • Écrit par Jacqueline LABAT-ROBERT et Ladislas ROBERT
    • 13 205 mots
    • 6 médias

    Laminine et chondronectine sont aussi considérées comme des protéines d'adhésion : la laminine jouerait un rôle important dans l'ancrage des cellules épithéliales sur la lame basale, par exemple dermo-épidermique, ou dans d'autres tissus comme la paroi intestinale, et la chondronectine interviendrait dans l'insertion des chondrocytes dans la trame fibreuse du cartilage, formé principalement de collagène de type II.

  • DENTS

    • Écrit par Armand de RICQLÈS
    • 33 423 mots
    • 8 médias

    La partie externe de cet exosquelette était constituée de tubercules coniques (odontodes) disposés régulièrement à la limite dermo-épidermique. Chaque odontode était formé par un cône de dentine ; seule la pointe de l'odontode devait percer l'épiderme. La structure des odontodes est donc absolument comparable à celle de dents qui seraient toutes soudées sur une base osseuse commune.

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