Descendant
- Nom masculin singulier
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe présent
Définition
Employé comme adjectif
- qui descend
Employé comme nom
- personne qui descend d'un même ancêtre
Forme dérivée du verbe « descendre »
"descendant" dans l'encyclopédie
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CHÉRIFAT
- Écrit par Georges BOHAS
- 1 389 mots
) Les deux principaux chérifats (ou pays commandés par un descendant de la famille du Prophète) sont ceux de La Mekke et du Maroc. Au xe siècle, avec le déclin des ‘Abbāsides, une branche ‘alīde (descendant d'‘Alī, cousin et gendre du Prophète) s'attribue le gouvernement de La Mekke. Ces sharīf vont, à travers bien des vicissitudes, se maintenir au pouvoir jusqu'au sharīf Ḥusayn.
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ANSARS ou ANÇĀRS
- Écrit par Yves THORAVAL
- 3 975 mots
Sadeq al-Mahdi, descendant des Ansars, devient Premier ministre en 1986, après les élections qui suivent la chute de Nimeyri (avr. 1985), et le restera jusqu'au coup d'État militaire du 30 juin 1989.
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CAPITAN
- Écrit par Nicole QUENTIN-MAURER
- 456 mots
Capitan est le descendant du miles gloriosus latin, personnage des comédies de Plaute ; à l'origine, c'est une parodie des mercenaires français et espagnols qui sillonnaient l'Italie au xvie siècle. Ce caractère de pleutre arrogant et bravache se retrouve chez différents personnages de la scène comique, en France notamment, chez Matamore, Rodomont, Fierabras ou Fracasse.
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FONVIZINE DENIS IVANOVITCH (1745-1792)
- Écrit par Alexandre BOURMEYSTER
- 740 mots
Descendant de chevaliers livoniens russifiés, après d'excellentes études à Moscou, Denis Fonvizine entre aux Affaires étrangères sous les ordres du comte Panine. Il traduit Voltaire, Terrasson, publie des satires dans la revue Le Causeur et compose une comédie, Le Brigadier (Brigadir, 1769), satire de la gallomanie en Russie. Il voyage en Europe, écrit des Lettres de France.
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SINO-TIBÉTAINES LANGUES
- Écrit par Maurice COYAUD
- 8 480 mots
Karlgren recompose, pour le chinois archaïque, des finales -b, -d, -g actuellement disparues, afin de rendre compte de l'alternance entre les syllabes finissant ainsi et celles du chinois ancien à finales -p, -t, -k ; il y a des cas où ces finales, voisées et non voisées, riment ensemble, particulièrement quand le ton de la voisée était descendant (qu sheng).