Desséchant
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe présent
Définition
- qui dessèche, qui assèche
Forme dérivée du verbe « dessécher »
"desséchant" dans l'encyclopédie
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RÉSORCINOL
- Écrit par Dina SURDIN
- 1 598 mots
En outre, le résorcinol est utilisé comme antiseptique, antifongique et desséchant. Il n'est pas rare, cependant, qu'il irrite la peau et les muqueuses. Son absorption peut provoquer des troubles sanguins, des convulsions et même la mort.
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PIÉTÉ
- Écrit par Henry DUMÉRY
- 2 662 mots
Le piétisme à tonalité psychologique n'a surgi que comme réaction, quand les religions officielles ont donné des signes d'usure, quand leur formalisme a paru desséchant, quand les mystères d'Égypte ou d'Orient ont pénétré dans le monde grec, puis hellénistique (à noter cependant que les dévotions ont pu naître dans le paganisme méditerranéen à l'occasion du culte des héros ou à l'occasion des pèlerinages, des visites préférentielles à tel sanctuaire, des sollicitations de grâces ou de faveurs : mais la prière de demande empruntait le stéréotype des formulaires).
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SĪSTĀN
- Écrit par Jean CALMARD
- 3 061 mots
Le climat est difficilement tolérable (été torride, pluies rares, vent violent soufflant vers le nord - nord-est, desséchant en été, glacial en hiver ; c'est le « vent des cent vingt jours » qui souffle dans le désert du Dasht-i Lūt dont fait partie l'ouest du Sīstān).
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AIZOACÉES
- Écrit par Chantal BERNARD-NENAULT
- 6 990 mots
- 2 médias
Chez ces plantes très adaptées à la vie xérophytique (succulence des feuilles, sève mucilagineuse,racines profondes, tubéreuses chez Delosperma, ou paradoxalement grêles, éphémères, se desséchant avec le sol chez les Lithops), la vie active est liée étroitement aux pluies (floraison, ouverture des capsules, dispersion et germination des graines). Sauf la tétragone dont on consomme les feuilles en guise d'épinards, les Aizoacées ne présentent qu'un intérêt ornemental (Lithops, Conophytum, Pleiospilos, nombreux Mésembryanthèmes).
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MOUSSES
- Écrit par Catherine LENNE
- 7 795 mots
- 2 médias
Par rapport au milieu aquatique où est apparue la vie, le milieu terrestre impose une contrainte hydrique majeure : l’air est par nature desséchant. L’organisme terrestre est ainsi confronté au risque permanent de déshydratation de ses tissus par évaporation. Le maintien de son équilibre hydrique doit se faire en compensant les pertes de vapeur d’eau par une entrée d’eau liquide.