Deutsche

"deutsche" dans l'encyclopédie

• DEUTSCHE GRAMMOPHON

  • Écrit par Philippe DULAC
  • 7 214 mots
  • 1 média

  En 1937, Deutsche Grammophon AG est remplacée par Deutsche Grammophon GmbH, dont les actionnaires sont la Deutsche Bank et Telefunken. En 1941, elle devient la propriété de Siemens. Ces avatars ne ralentissent en rien l'innovation technologique. En 1925, le procédé d'enregistrement électromagnétique permet de capter une plus large gamme de fréquences sonores.

• DEUTSCHE OPER, Berlin

  • Écrit par Jacques FOURNIER
  • 2 988 mots
  • 1 média

  La chute du Mur et la réunification de l’Allemagne rendit à ces deux lieux leur identité nationale intrinsèque, dont le Deutsche Oper, du fait de sa situation dans la zone ouest, n'avait jamais eu à se départir. Dû à l'architecte Fritz Bornemann, le Deutsche Oper, inauguré en 1961, fut érigé sur l'emplacement du Deutsches Opernhaus, détruit par les bombes durant la Seconde Guerre mondiale.

• WERKBUND DEUTSCHER

  • Écrit par Robert L. DELEVOY
  • 3 598 mots

  En 1902, alors même qu'il est attaché à l'ambassade d'Allemagne à Londres et qu'il arrive au terme d'une scrupuleuse enquête sur l'utopisme pratique et théorique de William Morris, l'architecte allemand Hermann Muthesius entreprit d'ébranler les mouvements fin de siècle qui défendaient la vieille tradition des métiers d'art. Pour lui, seuls les objets fabriqués à la machine sont susceptibles de répondre aux exigences de l'époque.

• DEUTSCHES SYMPHONIE-ORCHESTER BERLIN

  • Écrit par Alain PÂRIS
  • 1 796 mots

  Le noyau central du Deutsches Symphonie-Orchester Berlin, fondé en 1946 dans la zone d'occupation américaine, est à l'origine constitué de musiciens de la Staatskapelle de Berlin qui avaient refusé de rester en zone soviétique. Cet ensemble s'intitule d'abord Orchestre symphonique R.I.A.S. (R.I.A.S.-Symphonie-Orchester), du nom de la radio américaine d'occupation à Berlin, Rundfunk im amerikanischen Sektor.

• DEUTSCH HELEN (1884-1982)

  • Écrit par Pamela TYTELL
  • 6 490 mots

  Celui-ci, ne pouvant tolérer cette communication perpétuelle avec Tausk par le biais de l'analyse personnelle d'Helen Deutsch, imposa à sa patiente de faire cesser une telle « situation incestueuse » en interrompant le traitement de Tausk, qui, peu après, se suicida. Freud, d'ailleurs, mit fin bientôt à l'analyse d'Helen Deutsch afin de consacrer plus de temps à l'Homme aux loups.