Deux-quatre

"deux-quatre" dans l'encyclopédie

• RETABLE

  • Écrit par Marie-Geneviève de LA COSTE-MESSELIÈRE
  • 6 057 mots
  • 3 médias

  Les polyptyques les plus importants, à deux, quatre ou six volets fixes (souvent dispersés aujourd'hui), comportent plus souvent, au-dessus de la prédelle, deux registres de peintures, surmontés d'une lunette ou d'un couronnement (auxquels s'ajoutent, dans certains cas, des petits panneaux en hauteur ou des médaillons sur les pilastres extérieurs), et finissent par composer de véritables ordonnances en arc triomphal (Autel Roverella, de Cosmè Tura, Pala Griffoni, de Francesco del Cossa et Ercole de' Roberti, Pala Demidoff, de Carlo Crivelli).

• CHAPELLE

  • Écrit par Louis GRODECKI
  • 7 586 mots
  • 4 médias

  Pour multiplier les chapelles dans la région du chœur principal, on utilise surtout deux systèmes : adjonction à la face est du transept d'absidioles orientées (deux, quatre ou six) et contournement de l'abside par un déambulatoire sur lequel on ouvrira des chapelles rayonnantes, en nombre pair ou impair selon le cas. Au cours des xiie et xiiie siècles ces deux systèmes donnent l'essentiel des plans cisterciens à chapelles nombreuses sur le transept, et celui des grandes cathédrales à déambulatoire très développé.

• MYRTALES

  • Écrit par Georges MANGENOT
  • 14 618 mots
  • 6 médias

  Les pièces florales sont généralement au nombre de deux ou d'un multiple de deux : le plus souvent quatre ou six sépales libres, quatre ou six pétales libres, quatre, six, huit, douze étamines libres, deux, quatre ou six carpelles intimement et complètement soudés, jusqu'à l'extrémité du style, toujours simple. Cependant, chez beaucoup de Myrtales, les étamines sont très nombreuses par fission de quatre, six ou huit ébauches ; les pièces périanthaires peuvent être au nombre de cinq, les étamines de dix, les carpelles de cinq ou de trois.

• GAMÈTES

  • Écrit par Michel FAVRE-DUCHARTRE et Jacques TESTART
  • 22 949 mots
  • 6 médias

  Gamètes isochontés Les gamètes isochontés ont deux, quatre ou de très nombreux flagelles égaux. Ils caractérisent les Chlorophytes primitives, c'est-à-dire toutes les « plantes vertes » que sont les Algues vertes, les Bryophytes (Mousses...), les Ptéridophytes (Fougères...) et les Préspermaphytes (Cycadacées et Ginkgo), à l'exclusion des plantes à graines (Spermaphytes).

• ZOONOSES

  • Écrit par Gabriel GACHELIN
  • 24 907 mots
  • 4 médias

  La transmission du pathogène peut être directe ou indirecte, l’animal peut posséder deux, quatre, six ou huit pattes voire des nageoires, et même être microscopique, ce qui élargit considérablement le champ des interactions entre espèces animales, environnements, agents infectieux et être humain – et encore davantage si l’on ajoute que la flore du sol peut modifier les caractéristiques des dits agents infectieux (acquisition de gènes de virulence et de résistance par des bactéries).