Dial

"dial" dans l'encyclopédie

• PARKER CHARLIE (repères chronologiques)

  • Écrit par Pierre BRETON
  • 5 466 mots

  28 octobre 1947 Le Charlie Parker Quintet – Charlie Parker (saxophone alto), Miles Davis (trompette), Duke Jordan (piano), Tommy Potter (contrebasse) et Max Roach (batterie) – enregistre à New York Embraceable you, pour le label Dial 4 novembre 1947 Le Charlie Parker Quintet – Charlie Parker (saxophone alto), Miles Davis (trompette), Duke Jordan (piano), Tommy Potter (contrebasse) et Max Roach (batterie) – enregistre à New York Klactoveesedstene, pour le label Dial.

• DOCTOROW EDGAR LAWRENCE (1931-2015)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 3 800 mots
  • 1 média

  En 1959, il rejoint l’équipe éditoriale de la New American Library, poste qu’il quitte cinq ans plus tard pour devenir rédacteur en chef chez Dial Press. De 1971 à 1978, il enseigne dans plusieurs collèges et universités, dont le Sarah Lawrence College. En 1980-1981, il est chercheur invité à l’université de Princeton avant de devenir titulaire, l’année suivante, de la chaire Glucksman de lettres anglaises et américaines à l’université de New York.

• BAEZ JOAN (1941- )

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 4 484 mots

  An Intimate Journal (Dial Press, New York, 1968 ; trad. de l'américain par Marcelle Sibon, Le Lever du jour, Stock, Paris, 1968), et des Mémoires intitulés And a Voice to Sing With (Summit Books, New York, 1987 ; trad. de l'américain par Danielle Michel-Chich, Et une voix pour chanter, Presses de la Renaissance, Paris, 1988).

• MOORE MARIANNE (1887-1972)

  • Écrit par Laurette VÊZA
  • 6 403 mots
  • 1 média

  Son expérience ne se limite pas au domaine littéraire, encore que pendant quatre ans (de 1925 à 1929) elle ait assumé la direction de la revue The Dial ; elle s'est d'abord intéressée à la médecine, trouvant dans la discipline scientifique la rigueur, la précision, l'économie si caractéristiques de son œuvre ; on ne saurait, pense-t-elle, établir de différence entre le poète et l'homme de laboratoire.

• TIOMKIN DIMITRI (1894-1979)

  • Écrit par Juliette GARRIGUES
  • 8 222 mots

  Il signera pour le maître du suspense les musiques de Strangers on a Train (L'Inconnu du Nord-Express, 1951), de I Confess (La Loi du silence, 1953), de Dial M for Murder (Le crime était presque parfait, 1954). Ces musiques n'ont pas la même fonction que dans le cas des westerns. Elles sont narratives, jouent un rôle informatif, un indicatif sonore pouvant remplacer un indice visuel.