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Disco

  • Nom singulier invariant en genre
  • Adjectif singulier invariant en genre

Définition

Employé comme adjectif

  1. abréviation de " disco thèque"
  2. en musique, qualifie un style du début des années quatre-vingt

Employé comme nom

  1. en musique, style du début des années quatre-vingt

"disco" dans l'encyclopédie

  • DISCO

    • Écrit par Eugène LLEDO
    • 2 654 mots

    Finalement, à partir des années 1980, le disco finit par influencer la new wave (avec le groupe britannique New Order, par exemple). Elle est toujours présente dans la house et est abondamment samplée* par le rap.

  • No One Gets The Prize, ROSS (Diana)

    • Écrit par Eugène LLEDO
    • 2 427 mots
    • 1 média

    Jusque-là cantonnée dans une soul music pop un peu guindée qui tient beaucoup du rhythm and blues, Diana Ross prend un tournant disco à partir de 1976, avec son 45-tours Love Hangover. Mais, si l'album The Boss (1979), dont est extrait No One Gets the Prize, est disque d'or, Diana Ross a du mal à damer le pion aux deux locomotives de la disco américaine, Gloria Gaynor et Donna Summer.

  • PHILADELPHIA INTERNATIONAL RECORDS

    • Écrit par Peter SILVERTON et Encyclopædia Universalis
    • 2 755 mots

    Gamble et Huff donnent alors le ton au mouvement disco – The Best Disco in Town (1976) de Ritchie Family et YMCA (1978) des Village People seront ainsi enregistrés dans les studios de Sigma. Le dernier grand tube de Philadelphia International Records, le désormais classique Ain't No Stoppin' Us Now (1979), interprété par (Gene) McFadden et (John) Whitehead, sort lorsque la dance music connaît l'une de ses épisodiques périodes de schisme entre courant afro-américain et courant blanc.

  • MacArthur park, SUMMER (Donna)

    • Écrit par Eugène LLEDO
    • 2 815 mots

    Les grands esprits du disco se retrouvent : toujours le même son de cloche.

  • DANCE MUSIC

    • Écrit par Eugène LLEDO
    • 3 816 mots

    Musique destinée aux night-clubs, la dance est issue du disco et de la house. Le DJ et le producteur-arrangeur y exercent une part prédominante, au détriment de l'artiste, cantonné au rôle d'interprète. En France, la dance music est souvent considérée comme un dérivé commercial de la house music, dont elle emprunte quelques traits. Ses artistes et/ou producteurs précurseurs sont surtout issus du disco : Boney M et ses arrangements fondés sur des motifs répétitifs, Giorgio Moroder (Love to Love you Baby par Donna Summer, 1975), qui anticipe l'esthétique « mécaniste » en faisant jouer les hommes comme des machines, Jean-Marc Ceronne, qui hypertrophie les éléments rythmiques et pille la musique noire, et, dans un autre registre, plus robotique, Kraftwerk (Trans-Europe Express, 1977) et son « futurisme » sonore radical mais vendeur.

Recherche alphabétique

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