Discographique

"discographique" dans l'encyclopédie

• CASABLANCA RECORDS

  • Écrit par Peter SILVERTON et Encyclopædia Universalis
  • 1 611 mots

  À partir de 1973, la firme discographique Casablanca Records a participé à l'effervescence musicale qui caractérisait le Los Angeles des seventies. Depuis ses bureaux de Sunset Boulevard, réplique du Rick's Café dans le célèbre film de Michael Curtiz, Casablanca, dont le label tire son nom, Neil Bogart (de son vrai nom Bogatz) gère la société. Fils d'un employé des postes de Brooklyn, il se forge sa propre identité en fréquentant la School of the Performing Arts de New York.

• ENTWISTLE JOHN (1944-2002)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 854 mots

  Assagissant un peu son style, la formation connaît l'apogée de sa gloire discographique en 1971, avec Who's Next. Parallèlement, le bassiste, qui est aussi auteur de chansons, ouvre une carrière de solo avec plusieurs albums honorables. Cependant, la mode change et Keith Moon meurt : les dernières années d'Entwhistle s'écoulent en demi-teinte.

• JARRY GÉRARD (1936-2004)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 068 mots

  Il a gravé la première intégrale discographique des six concertos pour violon et cordes de Jean-Marie Leclair (avec l'Orchestre de chambre Jean-François Paillard, 1977).

• KIND OF BLUE (M. Davis)

  • Écrit par Pierre BRETON
  • 1 273 mots
  • 1 média

  Le plus souvent idéalement accompagné, Miles Davis laisse un legs discographique aussi considérable que fascinant. En mars et avril 1959, il enregistre avec un prodigieux sextette – Julian « Cannonball » Adderley (saxophone alto), John Coltrane (saxophone ténor), Bill Evans et Wynton Kelly (piano), Paul Chambers (contrebasse) et Jimmy Cobb (batterie) – l'album Kind of Blue, miracle d'équilibre et d'élégance qui constitue un des témoignages les plus aboutis, non seulement du jazz, mais aussi de la musique du xxe siècle.

• RAGOVOY JERRY (1930-2011)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 405 mots

  Il fait ses premiers pas dans l'industrie discographique en 1953, en fondant le label local Grand Records avec le propriétaire du magasin de Philadelphie qui l'employait jusqu'alors comme acheteur de disques. Il s'établit ensuite à New York pour composer des chansons, et devient en 1966 auteur et producteur maison du label soul de Warner Brothers Records, Loma Records.