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Distance-temps

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. distance caractérisée par le temps nécessaire pour parcourir cette distance (10 km peuvent représenter une heure en ville, cinq minutes sur autoroute)

"distance-temps" dans l'encyclopédie

  • BAR-LE-DUC

    • Écrit par André HUMBERT et Colette RENARD-GRANDMONTAGNE
    • 2 266 mots
    • 1 média

    , à 30 kilomètres en direction de Verdun, est trop éloignée de la ville pour diminuer la distance-temps qui sépare celle-ci de Paris.

  • BOURGES

    • Écrit par Franck GUÉRIT
    • 4 555 mots
    • 2 médias

    En quelque sorte, redevenir une « ville moyenne », centre régional en périphérie proche de Paris (à 2 heures en termes de distance-temps).

  • INTENDANTS

    • Écrit par Jean MEYER
    • 15 852 mots

    La distance-temps de la capitale aux chefs-lieux d'intendance, bien plus considérable alors que de nos jours, leur donne une certaine autonomie. Les bureaux versaillais, c'est-à-dire les premiers commis, les surveillent étroitement, et le circuit administratif les tient plus qu'on ne l'a dit. Par ailleurs, la diversité des situations provinciales fait que leur liberté et leurs possibilités d'action sont très variables.

  • NORMANDIE, région administrative

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 17 388 mots
    • 3 médias

    Les projets les plus porteurs d'avenir se trouvent au cœur de la région normande, dont le pont de Normandie est maintenant le symbole : un ensemble portuaire à l'échelle de la baie de Seine et aux ambitions européennes ; un patrimoine rural et des paysages à pérenniser ; un équilibre régional à assurer entre Paris et l'Angleterre ; enfin une grande métropole tripolaire à construire en réunissant en une heure de distance/temps les trois grandes villes historiques de la Normandie, Rouen, Caen et Le Havre, leurs richesses universitaires et culturelles, leurs complémentarités économiques.

  • DÉTROITS ET ISTHMES

    • Écrit par Nathalie FAU
    • 33 225 mots
    • 5 médias

    En permettant d’éviter de longs contournements de continents et de caps, ils participent directement à la mondialisation par la réduction des distance-temps et facilitent la libre circulation maritime. Le percement de l’isthme de Suez séparant la mer Rouge et la Méditerranée, en Égypte, a considérablement stimulé les échanges à l’échelle mondiale. Depuis l’ouverture du canal de Suez en 1869, après dix ans de travaux menés sous la direction de l’ingénieur français Ferdinand de Lesseps, l’itinéraire passant par cette voie artificielle de 190 kilomètres de long et par le détroit de Gibraltar permet d’éviter la longue route qui contourne l’Afrique par le cap de Bonne-Espérance.

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