Distinctive

"distinctive" dans l'encyclopédie

• GÉNÉRATION PERDUE

  • Écrit par Jean-Paul MOURLON
  • 1 578 mots
  • 2 médias

  Au cours des années trente, ces écrivains prenant des directions différentes, leurs œuvres perdirent la marque distinctive de l'immédiat après-guerre. Les derniers ouvrages représentatifs de cette époque furent Tendre est la nuit (Tender Is the Night, 1934), de Fitzgerald, et La Grosse Galette (The Big Money, 1936), de Dos Passos.

• DOUBLE ARTICULATION

  • Écrit par Louis-Jean CALVET
  • 1 644 mots

  On appelle phonème l'unité distinctive minimale. Ainsi, dans l'énoncé « le chat mangera », on pourra pratiquer deux segmentations successives. La première nous donnera cinq unités significatives (cinq monèmes) : le, chat, mang- (verbe manger), -r- (marque du futur) et -a (marque de la personne). La seconde segmentation nous donnera huit unités distinctives (huit phonèmes) : /l/, /ə/, /ʃ/, /a/, /m/, /ã/, /ž/, /r/.

• VAN DYKE WILLARD AMES (1906-1986)

  • Écrit par Christian CAUJOLLE
  • 2 035 mots

  Son premier appareil allait déterminer en partie ses choix esthétiques : il s'agissait d'une chambre de moyen format, utilisée pour la photographie « d'art », alors que le Leica et le petit format devenaient la marque distinctive des reporters. Il entre en apprentissage chez le maître de la photographie formaliste, Edward Weston, et ouvre avec une amie une galerie-studio à Oakland.

• JOLSON AL (1886-1950)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 879 mots
  • 1 média

  Dans Sinbad, il fait d'une chanson de Gershwin, Swanee, sa marque distinctive. Dans Bombo, il popularise My Mammy. Le même spectacle comporte trois autres de ses plus grands succès : Toot, Toot, Tootsie, California, Here I Come et April Showers. En 1927, Jolson est la vedette de The Jazz Singer (Le Chanteur de Jazz), réalisé par Alan Crosland, premier film en partie sonore – parlé et chanté –, qui va révolutionner l'industrie cinématographique et marquer la fin du cinéma muet.

• JENSEN JOHANNES VILHELM (1873-1950)

  • Écrit par Régis BOYER
  • 2 803 mots

  Le prix Nobel récompensa, en 1944, une œuvre sans équivalent dans la littérature danoise et dont la puissance et la vitalité sont la marque distinctive. Né à Farsø, dans le Himmerland, Jensen songea d'abord à étudier la médecine et les sciences exactes. Mais il comprit très vite que seule la littérature pourrait lui permettre d'affronter de face le seul problème qui le passionnait, celui que pose la vie, source à la fois de bonheur et de souffrance.