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Effréné

  • Adjectif masculin singulier

Définition

  1. qui est sans frein, sans retenue, sans mesure aucune

Expressions autour de ce mot

  1. cheval effréné  : en héraldique, cheval représenté sans bride, ni lien

"effréné" dans l'encyclopédie

  • JOTABECHE JOSÉ JOAQUÍN VALLEJO dit (1811-1858)

    • Écrit par Sylvie LÉGER
    • 786 mots

    Conservateur effréné en matière politique et littéraire, il défend les traditions et les mœurs patriarcales de son pays. Il fut surnommé Jotabeche, car il signait ses articles J. B. C. Ces initiales sont celles de Juan Bautista Chenau, Argentin facétieux que Vallejo suppose habiter Copiapo. Jotabeche est le premier ironiste chilien, opposé au romantisme ; son œuvre doit se lire comme un document d'époque sur la vie et la langue chiliennes au début du xixe siècle.

  • JAZY MICHEL (1936-2024)

    • Écrit par Pierre LAGRUE et Encyclopædia Universalis
    • 1 489 mots
    • 1 média

    Dans une course lancée sur un rythme effréné par Michel Bernard, Michel Jazy obtient la médaille d'argent du 1 500 mètres derrière le talentueux Australien Herbert Elliott. En 1962, le Français est champion d'Europe du 1 500 mètres, et établit son premier record du monde, sur 2 000 mètres, puis bat celui du 3 000 mètres. En 1964, à Tōkyō, Michel Jazy est le favori du 5 000 mètres.

  • TOOTS AND THE MAYTALS

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 2 122 mots

    Ce torrent de paroles prononcées sur un rythme effréné, qui relate le séjour de Hibbert en prison pour possession de marijuana (54-46 était son matricule), est considéré comme l'un des meilleurs morceaux de reggae. Le trio poursuit avec des succès comme Do the Reggay (probablement la première utilisation explicite du terme), Monkey Man, Sweet and Dandy et Pressure Drop (repris par The Clash et The Specials).

  • JOHNSON BLIND WILLIE (1902 env.-env. 1950)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 2 066 mots

    Sa voix de baryton puissante et rocailleuse, qu'il accompagne à la guitare sur un rythme effréné, produit un effet extraordinaire, qui trouve toute sa force dans If I Had My Way I'd Tear that Building Down (enregistré en 1927), inspiré du passage de la Bible relatif à Samson et Dalila. S'il interprète la plupart de ses gospels avec la même énergie, il crée un mélange unique de plaintes vocales et de lignes mélodiques construites sur des accords glissées à la guitare dans l'envoûtant Dark Was the Night, Cold Was the Ground (enregistré en 1927), gospel dont le thème est la crucifixion du Christ et que Ry Cooder rendra célèbre en l'utilisant dans la bande sonore du film Paris, Texas, de Wim Wenders (1984).

  • BOROTRA JEAN (1898-1994)

    • Écrit par Eric CACHELOT
    • 2 549 mots
    • 1 média

    Et cela à cinquante et un ans, après un demi-siècle vécu à un rythme effréné, à l'image du champion d'exception qu'il fut, admiré tout autant pour son smash en suspension que pour son légendaire fair-play. S'il fut unanimement célébré par le milieu sportif, l'homme au « béret » éternellement vissé sur le haut du crâne se trouva placé au centre d'une sérieuse polémique à la Libération, lorsqu'on lui reprocha son attachement à Philippe Pétain, qu'il servit sous Vichy au poste de commissaire général à l'Éducation physique et aux Sports, et cela du 13 juillet 1940 au 18 avril 1942.

Recherche alphabétique

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