Eka
- Interjection
Définition
- en chimie, préfixe qualifiant des métaux super-lourds
"eka" dans l'encyclopédie
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TABLEAU PÉRIODIQUE DES ÉLÉMENTS
- Écrit par Séverine BLÉNEAU-SERDEL
- 10 755 mots
- 3 médias
Il laisse donc des cases vides pour pouvoir y insérer ces éléments inconnus – qu’il nomme eka, dvi et tri, « un », « deux » et « trois », en sanskrit, en fonction de leur place sous un élément déjà connu – dont il prédit les propriétés. Une fois trouvée, cette logique paraît évidente, même si elle résulte d’une longue réflexion ! Les découvertes du gallium (eka-aluminium) en 1875, du scandium (eka-bore) en 1879, et du germanium (eka-silicium) en 1886 convaincront les sceptiques.
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GALLIUM
- Écrit par Georges KAYAS
- 1 620 mots
Métal très facilement liquéfiable, découvert par Paul-Émile Lecoq de Boisbaudran (1875) par son spectre, isolé, étudié aussitôt après et classé à la place de l'eka-aluminium de Mendeleïev. Il est d'un blanc argenté et suffisamment mou pour être coupé au couteau. Une fois liquéfié, il présente le phénomène de surfusion, pouvant rester liquide même à 0 0C ; il reste liquide jusqu'à environ 2 000 0C, et à 1 500 0C il a encore une tension de vapeur très faible.
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HĪNAYĀNA ou PETIT VÉHICULE
- Écrit par Dominique TROTIGNON
- 8 093 mots
Quand il se rapporte à l'enseignement du Bouddha, il apparaît sous la forme de « ekayāna » (véhicule – yāna, unique – eka) pour signifier qu'il est le seul enseignement capable de mener au-delà du samsāra – le cycle douloureux des naissances et des morts – par opposition aux autres enseignements spirituels. Il est alors employé comme synonyme de dharma, la doctrine à mettre en pratique, comme un « véhicule » ou « moyen de progression » sur la voie de la vérité.
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KANTOROWICZ ERNST (1895-1963)
- Écrit par Paola MAFFEI
- 9 861 mots
, lui donneront le surnom d'Eka pour ses intimes. Son milieu familial, très sensible à la culture, lui offre nombre de gages pour sa formation intellectuelle et son instruction supérieure : il faut mentionner en particulier l'influence importante qu'exerça sur lui une cousine, Gertrud, de plusieurs années son aînée, la seule femme parmi les collaborateurs de la revue d'art Blätter für Kunst, fondée par Stefan George.