Embolique

"embolique" dans l'encyclopédie

• MÉNOPAUSE

  • Écrit par Pierre KONOPKA
  • 7 338 mots

  augmente le risque thrombo-embolique (ce risque habituellement faible est multiplié par deux voire trois) ; le T.H.S., par son action stimulante sur la croissance cellulaire, augmente le risque de cancérisation d'organes spécifiquement féminins (cancer du sein, notamment). Les indications du traitement hormonal de la ménopause ont, de façon générale, été revues à la baisse par les autorités sanitaires, pour être réservées en priorité aux femmes souffrant de troubles (bouffées de chaleur, etc.

• NUCLÉAIRE MÉDECINE

  • Écrit par Jean-Louis BARAT, Dominique DUCASSOU et Nathalie VALLI
  • 32 352 mots
  • 8 médias

  La maladie thrombo-embolique L'exploration de l'arbre vasculaire à la recherche de thromboses est réalisée selon une approche indirecte, où les marqueurs vasculaires montrent le ralentissement ou l'interruption du flux sanguin. Les microsphères d'albumine marquées au technétium 99m servent à la réalisation des scintigraphies de perfusion pulmonaire.

• CONTRACEPTION HORMONALE

  • Écrit par Chantal GUÉNIOT
  • 33 919 mots
  • 4 médias

  Ces anomalies sont relativement fréquentes, notamment celles qui touchent le facteur V de la cascade de la coagulation sanguine, et sont souvent identifiées a posteriori chez les femmes victimes d'un accident thrombo-embolique veineux. Le tabagisme augmente le risque d'accidents artériels et la pilule combinée est contre-indiquée chez les femmes de plus de 35 ans qui fument.

• ATHÉROSCLÉROSE

  • Écrit par Loïc CAPRON
  • 29 436 mots
  • 1 média

  Autre éventualité, le thrombus n'occlut pas l'artère au niveau de la plaque rompue, mais s'en détache pour former un projectile (embole) qui, entraîné par le courant sanguin, part occlure une artère d'aval et provoquer une ischémie aiguë dite embolique. Tel est le cas commun de la plaque située à l'origine de l'artère carotide interne (au niveau du cou, derrière l'angle de la mâchoire) d'où se détache un embole qui va oblitérer une artère du cerveau ou de l'œil.

• CŒUR Maladies cardio-vasculaires

  • Écrit par Jean-Yves ARTIGOU, Yves GROSGOGEAT et Paul PUECH
  • 88 951 mots
  • 4 médias

  Le retentissement d'amont des cardiopathies « droites » (hypertension pulmonaire des broncho-pneumopathies chroniques ou d'origine embolique, cardiopathies congénitales avec obstacle pulmonaire ou gros shunt gauche-droit, maladies de l'orifice tricuspidien) s'exprime par la dilatation des veines jugulaires (hypertension dans le territoire de la veine cave supérieure), l'augmentation douloureuse du foie (hypertension dans les veines sus-hépatiques), les œdèmes des membres inférieurs, l'oligurie et les signes d'atteinte rénale fonctionnelle (hypertension cave inférieure).