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"encadreur" dans l'encyclopédie

  • PICKETT JOSEPH (1848-1918)

    • Écrit par Claude JACQUET
    • 1 396 mots

    Placés dans la vitrine de l'encadreur, ils attirèrent l'attention de Holger Cahill, qui les fit connaître du public et décrivit la peinture de Pickett dans American Folk Art, publié en 1932. Parmi les rares œuvres de ce peintre qui soient parvenues jusqu'à nous, on compte des paysages, Coreyell Ferry (env. 1918, Whitney Museum, New York) et Manchester Valley (env.

  • BOUDIN EUGÈNE (1824-1898)

    • Écrit par Charles SALA
    • 2 504 mots
    • 1 média

    Fils d'un marin de Honfleur, Eugène Boudin, un des précurseurs de l'impressionnisme, exerce la profession de papetier-encadreur au Havre. En 1849, il se rend à Paris pour y étudier la peinture sous la direction d'Eugène Isabey, qui construisait ses tableaux selon un système chromatique vif et clair. Ce n'est que dix ans plus tard que Boudin expose au Salon de 1859, avec un tableau anecdotique (Le Pardon de Sainte-Anne-la-Palud, musée du Havre), réalisé à partir de critères académiques.

  • PETITES SCÈNES CAPITALES (S. Germain) Fiche de lecture

    • Écrit par Norbert CZARNY
    • 6 327 mots

    Ils sont à la fois proches et très différents : eux de vrais artistes, elle hésitant entre la gemmologie et la peinture, avant de se lier à un encadreur et de trouver sa voie. Tout au long des années qui s’écoulent, et dont nous percevons à travers de minces indices les échos historiques, Lili cherche, essaie, risque. Les petites scènes capitales qui donnent son titre au roman sont ses moments d’épiphanie, racontant les découvertes, dévoilant ce qui a longtemps été caché, retardé.

  • TATI JACQUES (1908-1982)

    • Écrit par Jean COLLET
    • 8 501 mots

    Son père, quant à lui, était encadreur. Un discret hommage lui sera rendu dans Les Vacances de M. Hulot : Tati se donne un mal fou pour rectifier la position d'un tableau qui penche à droite, puis à gauche. À vingt ans, il vend des cadres anciens dans le magasin de son père, près de la Madeleine. Sa véritable passion est alors le sport : le football, l'équitation, la boxe, le tennis et, surtout, le rugby.

  • DAUMIER HONORÉ (1808-1879)

    • Écrit par Robert FOHR
    • 16 229 mots
    • 3 médias

    Son père, Jean-Baptiste, exerçait la profession, peu lucrative à l'époque, de « vitrier », c'est-à-dire d'encadreur et de peintre décorateur : ce point n'est pas sans importance au regard de l'idée, fort répandue au début du xxe siècle, d'un Daumier issu de rien, sorte de génie pur et sans racines. Que Daumier ait été le fils de simples artisans jette d'autre part quelque lumière sur sa relation personnelle, si humble et si grave, au métier d'artiste.

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