Endiablé

"endiablé" dans l'encyclopédie

• LA CLOCHE D'ISLANDE, Halldor Kiljan Laxness Fiche de lecture

  • Écrit par Régis BOYER
  • 3 659 mots

  Le lecteur va d'aventure en aventure, selon un rythme endiablé, le fantastique intervenant volontiers dans des tribulations souvent rocambolesques. Une allégorie de l'Islande On ne peut apprécier à sa juste mesure ce chef-d'œuvre que si l'on n'oublie pas la tragique histoire de l'Islande : « Il fut un temps, est-il dit dans les livres, où la nation islandaise ne possédait qu'un seul bien qui eût quelque valeur marchande.

• GÜINES TATÁ (1930-2008)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 332 mots

  Par son jeu fougueux et endiablé, le percussionniste cubain Tatá Güines – « Roi des congas » ou « Mains d'or » – a largement contribué à populariser les rythmes afro-cubains dans le monde entier. Né le 18 ou le 30 juin 1930 à Güines, à une cinquantaine de kilomètres de La Havane, Tatá Güines (de son vrai nom Federico Arístides Soto Alejo) se produit à Cuba dans les années 1930 et 1940 avec les plus grands musiciens : Peruchín, Bebo Valdés, José Fajardo, Chico O'Farrill, Cachao.

• FORLANE, danse

  • Écrit par Pierre-Paul LACAS
  • 1 455 mots

   » Casanova, pour sa part, insistait sur son rythme endiablé : « Il n'y a point de danse nationale plus violente » (à noter cependant que les danses appelées « ballo furlano », dans les Danseries de Phalèse, 1583, ont un mouvement lent, se rapprochant de l'allemande ou du branle, et que plusieurs sont des basses-danses). La forlane se répandit en France, à la fin du xviie siècle, puis en Europe.

• RAPPENEAU JEAN-PAUL (1932- )

  • Écrit par René PRÉDAL
  • 3 213 mots
  • 1 média

  Vaudeville de haut vol, loufoque et endiablé, aux péripéties rocambolesques mettant en mouvement d'immenses foules que découvrent d'amples panoramiques à la grue, Bon voyage multiplie les comparses et les intrigues secondaires servis par un chatoiement brillant et divertissant.

• COMÉDIES BARBARES, Ramón del Valle-Inclán Fiche de lecture

  • Écrit par Bernard SESÉ
  • 4 593 mots

  Le rythme endiablé de cette première partie ne se dément pas dans Águila de blasón. La maison de Don Juan est attaquée par des bandits. Le gentilhomme, grièvement blessé, a cru reconnaître ses fils parmi les assaillants. « Tous désirent ma mort, s'exclame-t-il, et mes fils les premiers ! Ces misérables que j'ai engendrés pour ma honte transformeront en grotte de voleurs cette demeure de mes aïeux.