Fémur
- Nom masculin singulier
Définition
- en anatomie, os long de la cuisse
"fémur" dans l'encyclopédie
-
HANCHE
- Écrit par Claude GILLOT, Henri JUDET et Jean JUDET
- 13 121 mots
- 2 médias
Ce ligament véhicule une artère de la tête du fémur. La synoviale unit les surfaces cartilagineuses en tapissant, d'une part, la capsule, d'autre part, le col du fémur. On appelle petite synoviale, ou tente du ligament rond, la partie affectée à ce ligament. Caractéristiques fonctionnelles Rôle statique Le rôle statique de la hanche s'illustre dans la station debout, uni ou bipodale.
-
GENOU
- Écrit par Claude GILLOT
- 8 386 mots
- 2 médias
Principaux constituants Surfaces articulaires Trois os entrent dans la constitution de l'articulation : l'extrémité inférieure du fémur, l'extrémité supérieure du tibia, la rotule. La rotule peut être considérée comme un os sésamoïde enchâssé dans le tendon du muscle quadriceps fémoral, lequel s'insère, selon cette interprétation, sur la tubérosité antérieure du tibia par l'intermédiaire du ligament rotulien.
-
LUXATION CONGÉNITALE DE LA HANCHE
- Écrit par Jean-Pierre ABOULKER
- 2 708 mots
Une ostéotomie corrigeant l'axe du col du fémur sera indiquée dans certains cas pour obtenir une contention satisfaisante.
-
GARGANTUAVIS
- Écrit par Eric BUFFETAUT
- 5 345 mots
- 3 médias
Des restes fragmentaires Dès 1995, un fragment de synsacrum (os formé par la fusion de vertèbres sacrées, thoraciques et caudales, sur lequel s'attachent les os du bassin) appartenant à un oiseau de grande taille a été signalé dans le Var, mais c'est en 1998 que l'espèce Gargantuavis philoinos a été définie, sur la base d'un bassin trouvé à Campagne-sur-Aude, dans l'Aude, et d'un fémur provenant de Villespassans, dans l'Hérault.
-
PHILOSOPHIE ANATOMIQUE (É. Geoffroy Saint-Hilaire)
- Écrit par Stéphane SCHMITT
- 3 902 mots
- 1 média
Parfois cette « analogie » est assez évidente (comme entre un fémur de cheval et un fémur humain) ; parfois elle ne l’est pas, par exemple dans le cas des osselets de l’oreille moyenne des Mammifères, que l’on ne retrouve pas sous cette forme chez les autres Vertébrés. Pour reconnaître ces « analogies » plus obscures, Geoffroy Saint-Hilaire introduit un critère précis, le « principe des connexions » selon lequel sont analogues des parties dont les rapports avec les parties voisines sont identiques dans toutes les espèces.