Factorerie
- Nom féminin singulier
Définition
- agence d'une compagnie de commerce à l'étranger
"factorerie" dans l'encyclopédie
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RIMBAUD ARTHUR (repères chronologiques)
- Écrit par Jean-François PÉPIN
- 2 944 mots
1888-1891 Revient à Harar où il va diriger une factorerie. 9 mai 1891 Malade, il doit rentrer en France. Le 22 mai, il est amputé d'une jambe à l'hôpital de Marseille. Juillet 1891 Retour à Roche. 10 novembre 1891 Mort de Rimbaud à Marseille.
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CALCUTTA ou KOLKATA
- Écrit par François DURAND-DASTÈS
- 8 378 mots
- 3 médias
La première factorerie anglaise fut fondée par Job Charnock en 1690, pour le compte de la Compagnie des Indes orientales, et très vite dotée d'un fort, nommé Fort William en l'honneur de Guillaume III. L'essor véritable de Calcutta date cependant de la bataille de Plassey (1757) qui assura la domination anglaise sur le Bengale et ouvrit la plaine du Gange aux entreprises britanniques.
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BÉNIN ROYAUME DU
- Écrit par Paul MERCIER
- 15 980 mots
- 3 médias
Une factorerie est installée au port de Gato. On accepte des missionnaires catholiques. Dans ces bonnes relations, les deux pouvoirs avaient leurs arrière-pensées. Les Portugais, tout en affirmant leur souci d'apporter aux païens la vraie foi, voulaient s'assurer un monopole commercial qui, très vite, deviendra celui de la traite des esclaves : un roi conquérant pourra les fournir en grand nombre.
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AMÉRIQUE (Histoire) Amérique portugaise
- Écrit par Frédéric MAURO
- 23 195 mots
- 6 médias
Une factorerie est créée à Pernambouc en 1516. Des capitalistes de Lisbonne, en particulier des Italiens comme Bartolemeo Marchione, se sentent intéressés. Mais des marins français viennent aussi couper le bois brésil. Bientôt, c'est la lutte armée entre Français et Portugais, les tribus indiennes s'alliant les unes avec ceux-ci, les autres avec ceux-là.
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CAMÕES LUÍS VAZ DE (1525?-1580)
- Écrit par Paul TEYSSIER
- 23 206 mots
- 1 média
Un document atteste qu'il obtint cependant une charge dans la factorerie de Chaul, mais qu'il ne l'occupa pas. Enfin, en 1567, il quitte l'Inde, aussi pauvre qu'à son arrivée, quatorze ans plus tôt. Un ami influent, Pero Barreto, lui paie le passage jusqu'à Mozambique. Camões végète deux ans dans cette place de l'Afrique orientale. Mais il y trouve un groupe d'amis (parmi lesquels Diogo do Couto, de qui nous tenons ces détails), qui se cotisent pour rembourser ses dettes et pour payer son voyage de retour vers l'Europe.