Fadé
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe passé masculin singulier
Définition
- bien réussi dans son genre (ironique)
Forme dérivée du verbe « fader »
"fadé" dans l'encyclopédie
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COMMERCIALISATION DU PREMIER O.G.M.
- Écrit par Nicolas CHEVASSUS-au-LOUIS
- 1 076 mots
), mais à cause de son goût plutôt fade et de son prix élevé. En 1996, Calgene doit suspendre la commercialisation. L'entreprise ne sera sauvée de la faillite que par son rachat par le groupe Monsanto au sein duquel elle travaillera sur les colzas ou les cotons génétiquement modifiés.
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SOUCHET
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 226 mots
Ce n'est pas un gibier très prisé, sa chair étant fade. En vol, le souchet a l'air bossu, bien qu'il se déplace rapidement. Il vit dans des marais et des lagunes peu profondes, où il se sert de son large bec bordé d'une série de lamelles pour filtrer, dans l'eau boueuse, les petits organismes, les graines et les algues. Dans les eaux plus profondes, le canard souchet sillonne la surface à la recherche du plancton.
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LAGRENÉE LES
- Écrit par Georges BRUNEL
- 1 396 mots
Jean-Jacques Lagrenée (1740-1821) est un peintre plus faible ; une œuvre comme son Baptême du Christ (1768, cathédrale Saint-Gatien, Tours), correctement dessinée, reste fade de sentiment comme de couleur.
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PSYCHOMACHIE
- Écrit par Jean-Pierre BORDIER
- 1 895 mots
Cette œuvre, pour nous fade, a eu un succès immense pendant tout le Moyen Âge : on la recopie, on la glose ; les imitations abandonnent le sens historique, dépassé, et la typologie, réservée à l'exégèse biblique. De semblables imitations prolifèrent au xiie siècle : les dieux païens disparaissent très vite dans l'Anticlaudianus d'Alain de Lille (1182-1183), où la victoire des vertus est annonciatrice d'un âge d'or à venir.
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LEBLANC MAURICE (1864-1941)
- Écrit par Jean-Paul MOURLON
- 2 401 mots
par exemple la cruauté du Fantomas de Souvestre et Allain), est celui de la comédie rose, et il serait parfois fade si l'extrême ingéniosité des intrigues et un humour virulent, d'allure volontiers parodique (ainsi la lutte contre le fameux détective Herlock Sholmès), n'en avivaient puissamment l'intérêt. Le cycle d'Arsène Lupin reste un des grands monuments de la littérature populaire d'avant 1914 avec Rouletabille et Fantomas ; il s'en distingue cependant par un souci d'écriture beaucoup plus vif et par une sorte de grâce distinguée qui fait encore son charme aujourd'hui.