Faiblement
- Adverbe
Définition
- de façon faible
"faiblement" dans l'encyclopédie
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LIAISONS CHIMIQUES Liaisons biochimiques faibles
- Écrit par Antoine DANCHIN
- 32 451 mots
- 9 médias
La biologie a vu s'effacer depuis le début de ce siècle ce qui la séparait de la physique du fait que l'on s'est accordé à reconnaître qu'une modélisation en termes physico-chimiques pourrait, sans doute, expliquer les architectures et les processus qui caractérisent le vivant. Et plus particulièrement, c'est à la fin du premier quart du siècle que la description d'édifices atomiques complexes, les macromolécules, est venue faire le lien entre le monde quasi minéral, associé à l'image du cristal, qu'offrait la chimie, et le monde mouvant et associé à l'image de la colle que donnait le protoplasme cellulaire.
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INTERACTIONS (physique) Interaction nucléaire faible
- Écrit par Bernard PIRE
- 17 188 mots
- 4 médias
L’interaction nucléaire faible est une des quatre interactions fondamentales, à côté de la gravitation, l’électromagnétisme et l’interaction nucléaire forte. Elle est ainsi nommée parce que sa portée est inférieure à la taille d’un noyau atomique et que son intensité est bien moindre (d’environ 1 million de fois) que l’interaction forte responsable de la cohésion des noyaux usuels.
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ORTHOCHROMATIQUE
- Écrit par Josette CACHELOU
- 349 mots
On peut procéder au développement dans un laboratoire faiblement éclairé en rouge.
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EXCITON
- Écrit par Viorel SERGIESCO
- 3 273 mots
– L'exciton de Wannier-Mott, de grand rayon, donc faiblement lié, possédant un analogue classique corpusculaire. L'état d'excitation d'une molécule étant associé au déplacement d'au moins un atome vers l'extérieur du système atomique, cet analogue est une paire « électron-trou », c'est-à-dire l'ensemble [électron + charge positive équivalente à l'absence de charge négative au point que l'électron a quitté].
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GLAUBER ROY (1925-2018)
- Écrit par Bernard PIRE
- 3 201 mots
En 1955, il montre pourquoi le taux de collision d'une particule sur un noyau de deutérium (constitué d'un proton et d'un neutron faiblement liés) est notablement différent de la somme des taux sur un proton et un neutron. Cet effet est expliqué par un phénomène de diffraction quantique, le neutron étant comme dans l'« ombre » du proton, ou vice-versa.