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Fainéanter

  • Verbe à l'infinitif

Définition

  1. familièrement, ne rien faire, vivre comme un fainéant

"fainéanter" dans l'encyclopédie

  • UNE SAISON EN ENFER, Arthur Rimbaud Fiche de lecture

    • Écrit par Hédi KADDOUR
    • 5 818 mots
    • 1 média

    Le sentiment d'une usure de la vie, d'une lenteur de la science s'y transforme en volonté de fainéanter, de rêver « amours monstres et univers fantastiques ». « Matin » évoque la fin de « la relation de mon enfer » et la possibilité d'un Noël laïcisé : « Le chant des cieux, la marche des peuples ! Esclaves, ne maudissons pas la vie. » La Saison se clôt sur « Adieu », une entrée dans l'automne qui est aussi un appel d'énergie : « Recevons tous les influx de vigueur et de tendresse réelle.

  • L'USAGE DU MONDE, Nicolas Bouvier Fiche de lecture

    • Écrit par Guy BELZANE
    • 8 680 mots

    De fait, l’action et le mouvement laissent ici souvent la place à la contemplation (« Fainéanter dans un monde neuf est la plus absorbante des occupations »), les pannes incessantes de la Fiat imposent des étapes imprévues, et les séjours peuvent parfois s’allonger indéfiniment (comme à Tabriz). L’ouverture à l’altérité permet les rencontres et une fine compréhension du monde, à la double condition d’une vigilance extrême et d’une suspension du jugement.

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