Far
- Nom masculin singulier
Définition
- en pâtisserie, gâteau breton ressemblant à un flan
"far" dans l'encyclopédie
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FAR WEST
- Écrit par Claude FOHLEN
- 15 323 mots
- 4 médias
Il n'existe plus de Far West, mais il en subsiste une tradition et une épopée.
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FĀRS
- Écrit par Jean CALMARD
- 2 557 mots
- 1 média
Province iranienne s'étendant sur 120 005 kilomètres carrés et peuplée de 3 817 000 habitants (recensement de 1996,estimation de 4 300 000 hab. au milieu des années 2000), le Fārs est l'antique Perside, berceau des dynasties achéménide et sassanide, dont le dialecte (fārsī) fut d'abord la langue littéraire, puis la lingua franca de vastes régions musulmanes avant de devenir la langue officielle de l'Iran.
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GUÈGUES
- Écrit par Emmanuel ZAKHOS-PAPAZAKHARIOU
- 3 763 mots
Chaque tribu (fis) comprend un certain nombre de far (foyer), fédération de grandes familles d'origine commune, équivalente du « clan ». Tous les hommes de la far en état de combattre constituaient, avant l'avènement du pouvoir socialiste en Albanie, un corps armé nommé tchéta. La tribu était administrée par l'assemblée des vieillards (pliak). Elle se nommait kouvend, terme qui est passé dans le grec moderne avec le sens de « discussion ».
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ROETHKE THEODORE (1908-1963)
- Écrit par Jacques DARRAS
- 2 938 mots
The Far Field (Le Champ lointain) n'est-il pas limitrophe de cette « composition par champs » que revendiquait Charles Olson ? Oui, mais à la différence d'Olson, le voyage au « champ lointain » de Roethke aura préalablement retraversé toute l'étendue de l'Irlande de Yeats et du Cumberland de Wordsworth, pour en arriver là. Voyageant en Amérique à l'intérieur de la mémoire européenne, Roethke semble donc s'être exilé doublement.
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CHURCHILL CARYL (1938- )
- Écrit par Elisabeth ANGEL-PEREZ
- 3 647 mots
Avec Blue Heart (1997) et Far away (2000), Caryl Churchill remet en doute encore plus radicalement le concept de structure, depuis l'architecture de la pièce – en tableaux, parabolique, épique – jusqu'à l'unité de sens que forment la phrase et le mot. Les mots deviennent comme des vaisseaux fantômes, selon un principe de jeux de langage, à mi-chemin entre Wittgenstein et Beckett.