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Fiévreux

  • Adjectif masculin invariant en nombre

Définition

  1. en pathologie, qui cause la fièvre, une augmentation de la température du corps
  2. en pathologie, qui est sujet à la fièvre
  3. qui est dans un état d'agitation très intense

"fiévreux" dans l'encyclopédie

  • ÉRYSIPÈLE

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 226 mots
    • 1 média

    Le patient est fiévreux. Dans le passé, des épidémies d'érysipèle ont provoqué des infections graves, voire fatales. En 1089, la plus grave de celles-ci fut connue sous le nom de « feu de la Saint-Antoine ». Ceux qui priaient ce saint étaient supposés guérir et ceux qui s'en abstenaient ne pouvaient que mourir. De nos jours, l'érysipèle est une légère infection, relativement rare, qui disparaît rapidement après administration de pénicilline ou d'un autre antibiotique.

  • EULER ULF VON (1905-1983)

    • Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
    • 2 253 mots
    • 1 média

    En 1926, il est assistant au département de pharmacologie de cet institut et travaille sur les propriétés vasomotrices du sang des fiévreux. Il soutient sa thèse de doctorat en 1930, et obtient une bourse pour travailler un an au Rockefeller Institute. Au cours de son séjour américain (1930-1931), il découvre un facteur biologique actif dans l'intestin, qui a reçu l'appellation de substance P.

  • STUBBS GEORGE (1724-1806)

    • Écrit par Pierre GEORGEL
    • 3 526 mots
    • 3 médias

    Un génie plus fiévreux éclate dans les peintures de fauves, dont l'exotisme pittoresque est transcendé par l'intensité du contenu émotionnel (Guépard avec deux serviteurs indiens, City Art Gallery, Manchester ; nombreuses peintures de tigres, de lions, de macaques, de chevaux sauvages). Tandis que Fuseli, Barry, Mortimer, Runciman, Blake même et la plupart des peintres d'histoires préromantiques en Angleterre s'acharnent à exprimer la grande poussée de l'instinct et du mystère au moyen d'un art équivoque, mélodramatique et marqué par un académisme indélébile, Stubbs donne forme à cette poussée dans de beaux mythes naturels, libres d'associations littéraires trop précises et d'une efficacité irrésistible.

  • SYLVIA GABY (1920-1980)

    • Écrit par André-Charles COHEN
    • 3 346 mots

    Certains critiques déclarent écouter ce texte « pour la première fois » tant le jeu de la comédienne leur apparaît « sincère et fiévreux ». Après la guerre, la carrière de Gaby Sylvia marque le pas : quelques comédies insignifiantes d'André Hunebelle, une ou deux incursions en Italie, avant, en 1954, de retrouver le rôle auquel elle était étroitement associée, celui d'Estelle dans la pièce de Jean-Paul Sartre, Huis clos, qu'elle avait créée au théâtre aux côtés de Michel Vitold et Tania Balachova.

  • SECOND JEAN (1511-1536)

    • Écrit par Françoise JOUKOVSKY
    • 3 593 mots

    L'angoisse de la jalousie, l'alternance de l'espoir et de la rancœur sont traduits par la composition de chaque pièce, tout en revirements, et par le recours fiévreux à la rhétorique : l'apostrophe, l'interrogation, le souhait animent le dialogue entre le poète et l'amante rebelle. L'appel au plaisir est repris en mineur par l'évocation élégiaque du paradis amoureux où ils pourraient se retrouver après la mort.

Recherche alphabétique

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