Figaro
- Nom masculin singulier
Définition
- personnage littéraire devenu synonyme de coiffeur
"figaro" dans l'encyclopédie
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FIGARO LE
- Écrit par Christine LETEINTURIER
- 7 018 mots
En mars 1986, Philippe Villin devient directeur général du Figaro, à charge pour lui de redresser une situation financière médiocre. Après le lancement de Lyon Figaro, durant l'été de 1986, pour remplacer progressivement Le Figaro Rhône-Alpes (aujourd’hui disparu), la diversification du produit Figaro se poursuit. Le 7 février 1987, le supplément Figaro T.
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FIGARO DIVORCE (mise en scène J. Lassalle)
- Écrit par Didier MÉREUZE
- 5 990 mots
- 1 média
Peu avant, Figaro interrogeait : « On la cherche toujours, on ne la trouve jamais et pourtant on la perd. Qu'est-ce ? L'humanité. »
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LE MARIAGE DE FIGARO (P.-A. de Beaumarchais) Fiche de lecture
- Écrit par Pierre FRANTZ
- 7 815 mots
- 1 média
On y assiste à l'affrontement de Figaro et du comte qui tente de percer à jour les projets de son valet. Pris au piège d'un procès, Figaro n'échappe au mariage avec Marceline que par la soudaine révélation, au cours d'une scène de « reconnaissance », des liens de filiation qui l'unissent à elle. Le quatrième acte, dans une galerie du château, est surtout consacré au piège monté par la comtesse et Suzanne à l'insu de Figaro pour attraper le séducteur.
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LE BARBIER DE SÉVILLE, Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais Fiche de lecture
- Écrit par Pierre FRANTZ
- 7 903 mots
L'imbroglio Le Barbier de Séville constitue le premier épisode d'une trilogie dramatique qui comprendra ensuite Le Mariage de Figaro (1784) et La Mère coupable (1792). Ses protagonistes reviennent dans ces deux pièces (auxquelles il faudrait adjoindre, en toute rigueur, le Compliment de clôture), fictivement séparées dans le temps par quelques années.
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PIERRE-PETIT (1922-2000)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 4 620 mots
On le retrouve à la télévision, animant des émissions de musique classique destinées au grand public avec une verve et un humour sans égal : « Presto », « Contre-ut », « Figaro-ci, Figaro-là », « Accords parfaits ». Après avoir assuré un temps la critique musicale au Figaro littéraire, il succède à Bernard Gavoty (Clarendon) au Figaro en 1975, dans la droite ligne d'illustres critiques compositeurs comme Berlioz, Dukas, Fauré ou Reynaldo Hahn (les deux derniers avaient été ses prédécesseurs au Figaro).