Filmographie
- Nom féminin singulier
Définition
- familièrement, liste des films d'un artiste ou d'un genre donné
"filmographie" dans l'encyclopédie
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CARASCO RAYMONDE (1939-2009)
- Écrit par Raphaël BASSAN
- 5 376 mots
Le tronc central de sa filmographie est constitué d'une quinzaine de films sur la culture des Indiens Tarahumaras (1978-2003), mise en perspective avec la pensée d'Antonin Artaud. Débutant dans la mouvance du cinéma expérimental, se poursuivant dans le champ du documentaire, voire de la fiction, les films de cette cinéaste singulière relèvent, selon Nicole Brenez, du « poème ethnographique ».
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SCHROEDER BARBET (1941- )
- Écrit par René PRÉDAL
- 5 958 mots
- 1 média
et la rétrospective intégrale de la filmographie de Barbet Schroeder au Centre Georges-Pompidou (avril-juin) ont mis en évidence l’originalité d’une œuvre – production et réalisation – conduite sur trois continents, aux marges du documentaire et de la fiction. Né le 26 août 1941 à Téhéran d’un père suisse et d’une mère allemande, Barbet Schroeder passe son enfance en Colombie et son adolescence à Paris.
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HUIT ET DEMI (F. Fellini), en bref
- Écrit par Joël MAGNY
- 1 015 mots
En prenant pour sujet l'impuissance créatrice d'un cinéaste réputé, incarné par le très populaire Marcello Mastroianni, et comme titre de son film son numéro d'ordre dans sa filmographie – Fellini a tourné auparavant sept films et un sketch –, le metteur en scène atteint au comble du cinéma d'auteur, nourrissant son film de ses obsessions personnelles, de ses expériences et de ses souvenirs d'enfance, sans oublier d'en faire un spectacle « commercial », magiquement baroque.
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GRANGIER GILLES (1911-1996)
- Écrit par André-Charles COHEN
- 3 752 mots
Malgré des moments de grâce, la filmographie de Gilles Grangier demeure bien hétérogène. Elle traduit toutefois un vrai bonheur de filmer, et constitue un précieux document sociologique sur un « milieu » parisien et provincial aujourd'hui disparu.
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AIMER, BOIRE ET CHANTER (A. Resnais)
- Écrit par René PRÉDAL
- 6 451 mots
On pense aux méduses de l’aquarium ponctuant la scène de pendaison de crémaillère à la fin d’On connaît la chanson… Déjà un animal bizarre et des chansons, facéties d’une filmographie vagabonde dont on n’a pas fini d’explorer les mystères.