Finno-ougrienne
- Nom féminin singulier
- Adjectif féminin singulier
Définition
- relative aux peuples apparentés aux finnois et aux hongrois
"finno-ougrienne" dans l'encyclopédie
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FINNO-OUGRIENNES LANGUES
- Écrit par Jean PERROT
- 10 459 mots
- 1 média
La famille finno-ougrienne : relations internes et externes L'appellation de la famille s'explique par l'identification de deux grands groupes de langues plus ou moins étroitement reliées entre elles : un groupe fennique où le finnois domine et un groupe ougrien dont le hongrois est le représentant à la fois le plus occidental et le plus important.
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MORDVE
- Écrit par Charles URJEWICZ
- 3 673 mots
- 1 média
Nationalité de langue finno-ougrienne, les Mordve était au nombre de 1 073 000 lors du recensement de 1989 (0,7 p. 100 de la population soviétique totale). Le territoire des Mordve devint en 1930 une région autonome, et en 1934 république socialiste soviétique autonome des Mordve. En janvier 1991, elle proclame sa souveraineté sous le nom de république de Mordovie.
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MARI, ethnie
- Écrit par Charles URJEWICZ
- 4 831 mots
Dans ces trois dialectes, on trouve, aux côtés des mots d'origine finno-ougrienne, un certain nombre de mots d'origine russe. Dans la période soviétique, on a assisté à la formation de deux langues littéraires : mari de la plaine et de la forêt, mari de la montagne, ces deux langues différant avant tout par la phonétique. On peut considérer les Mari comme des populations indigènes.
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LAPONS
- Écrit par Jean-Luc MOREAU
- 16 571 mots
Une origine controversée La langue lapone – il vaudrait mieux dire les parlers lapons, tant l'écart est grand entre les différents dialectes – fait partie de la famille finno-ougrienne. Si la géographie, d'une part, de nombreuses ressemblances, surtout lexicales, de l'autre, suggèrent une parenté plus étroite avec les langues de la branche fennique (finnois, estonien, etc.
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INDO-EUROPÉEN
- Écrit par Guy JUCQUOIS
- 43 627 mots
- 1 média
C'est ainsi qu'on distingue une famille indo-européenne, une famille sémitique, une famille finno-ougrienne, etc. On peut également par une sorte de projection dans le passé reconstruire la protolangue, c'est-à-dire la langue, non attestée directement par des témoignages écrits, mais dont l'existence est postulée par un ensemble de concordances de structure dont l'importance et la précision excluent le hasard comme principe d'explication.