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Gîter

  • Verbe à l'infinitif

Définition

  1. en marine, donner de la gîte, inclinaison en parlant d'un navire
  2. avoir son abri, en parlant du lièvre
  3. (vieilli) demeurer, coucher dans un lieu

"gîter" dans l'encyclopédie

  • CI-GÎT L'AMER. GUÉRIR DU RESSENTIMENT (C. Fleury)

    • Écrit par Marc LEBIEZ
    • 6 125 mots

    C’est la démarche que nous propose Ci-gît l’amer (Gallimard, 2020). Le sous-titre le dit clairement : son ambition est de « guérir » de ce « ressentiment » qui n’est peut-être pas vraiment une maladie, mais relève bien de la psychanalyse. À la philosophie, Cynthia Fleury emprunte diverses références, dans un discours dont les normes sont celles de l’analyste plutôt que de l’argumentation philosophique.

  • PUTOIS

    • Écrit par Marie-Claude BOMSEL
    • 2 205 mots
    • 1 média

    Plutôt nocturne, moins bon grimpeur que ses « cousines » les belettes, le putois aime à gîter dans les terriers abandonnés de renards ou de lapins. Il peut aussi nicher sur un tas de branches ou dans des granges désaffectés. Il chasse surtout les campagnols et autres petits rongeurs, parfois quelques oiseaux et poissons. Vers de terre et charognes complètent son alimentation.

  • CANADA (R. Ford) Fiche de lecture

    • Écrit par Liliane KERJAN
    • 6 560 mots
    • 1 média

    Car, dans Canada, roman écrit au passé, l’écrivain reprend un de ses thèmes majeurs : celui de l’abri, du refuge, déjà fortement présent dans Un week-end dans le Michigan (1986), premier volet de la trilogie dont le personnage principal, Frank Bascombe, est un agent immobilier qui passe sa vie à proposer des demeures où l’on rêve de gîter en paix. Il reprend aussi l’âge crucial de seize ans, celui de Joe dans Une saison ardente (1990), et le sien lorsqu’il perdit son père.

  • PESTE

    • Écrit par Henri-Hubert MOLLARET et Encyclopædia Universalis
    • 15 032 mots
    • 7 médias

    Épidémiologie Parmi les hôtes de l’infection, il faut distinguer, après le rat noir, Rattus rattus, initialement incriminé comme seul réservoir et seul propagateur de la peste : – les rongeurs commensaux de l’homme, qui pénètrent sans y gîter dans les maisons et dont le type est le rat gris ou Rattus norvegicus, moins bon vecteur que Rattus rattus ; – les rongeurs champêtres proches du rat, sans contact direct avec l’homme, mais en contact avec les espèces précédentes commensales ou domestiques ; – les rongeurs sauvages, sans contact direct avec l’homme ni avec les espèces commensales, dont les espèces varient selon les régions : tarbagan, spermophile, mérione, gerbille, écureuil, qui assurent, d’une part, la transmission du germe aux espèces commensales, d’autre part, la persistance de l’infection dans la nature.

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