Gélatineuse

"gélatineuse" dans l'encyclopédie

• ZYGOPHYCÉES ou CONJUGUÉES

  • Écrit par Pierre BOURRELLY
  • 7 204 mots
  • 2 médias

  Les gamètes mâle et femelle identiques fusionnent soit dans le gamétocyste femelle, soit dans un tube de conjugaison réunissant les gamétocystes de sexe opposé, soit enfin à l'extérieur dans une enveloppe gélatineuse. Les zygotes ainsi formés s'entourent d'une membrane épaisse, feuilletée, et germent après la méiose. Les quatre spores haploïdes qui sont alors produites donneront quatre cellules végétatives.

• ACTINOPODES

  • Écrit par Patrick DE WEVER et Robert GAUMONT
  • 20 607 mots
  • 7 médias

  La couche gélatineuse ou gelée tout à fait périphérique, non incluse dans l'ectoplasme, reste homogène et hyaline chez les espèces les plus primitives. Chez les espèces évoluées, au contraire, la gelée se différencie en une ou deux pellicules contenant des myonèmes contractiles qui constituent un appareil hydrostatique très perfectionné unique chez les Actinopodes.

• TRICHOPTÈRES

  • Écrit par Robert GAUMONT
  • 3 195 mots

  Il existe deux types de ponte : la ponte cimentée et la ponte gélatineuse. Les larves, toujours aquatiques, sont généralement de type éruciforme, bien qu'il existe quelques larves dites campodéiformes (elles ont trois paires de pattes thoraciques, mais ne possèdent qu'une seule paire de fausses pattes abdominales sur ce dernier segment du corps). En revanche, elles sont généralement pourvues de trachéobranchies le plus souvent localisées sur l'abdomen, mais quelques Rhyacophila et Hydropsyché ont aussi des branchies thoraciques.

• PREHNITE

  • Écrit par Yves GAUTIER
  • 4 602 mots

  Elle se décompose lentement dans l'acide chlorhydrique en donnant une masse gélatineuse, fond facilement sous la flamme du chalumeau en formant un verre bulleux jaune sale à verdâtre. Elle est non fluorescente et non pléochroïque.

• CHÉTOGNATHES

  • Écrit par Marie-Louise FURNESTIN
  • 8 059 mots
  • 1 média

  La ponte est libre dans le genre Sagitta ; les œufs (diamètre : de 0,1 à 0,2 mm) sont planctoniques ; chez Pterosagitta, ils sont en amas de 200 à 300 dans une gangue gélatineuse qui abrite les larves à l'éclosion. Le développement est rapide (4 jours environ) et direct, car l'animal, long de 1 mm à sa sortie de l'œuf, présente déjà l'aspect d'un Chétognathe.