Géodésie
- Nom féminin singulier
Définition
- science dont le but est de déterminer la forme et les dimensions de la Terre
"géodésie" dans l'encyclopédie
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GÉODÉSIE
- Écrit par Anny CAZENAVE et Pascal WILLIS
- 40 209 mots
- 3 médias
Plus récemment, la généralisation des mesures de géodésie spatiale a grandement simplifié ce type de mesures. La géodésie spatiale Les techniques de la géodésie ont été profondément modifiées par le recours à des satellites artificiels. Le satellite dont la trajectoire dépend principalement de la gravité terrestre est devenu le principal indicateur du champ de gravitation.
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PEIRCE CHARLES SANDERS (repères chronologiques)
- Écrit par Francis WYBRANDS
- 1 307 mots
1877 Premier Américain à participer au Congrès international de géodésie. Publication d’un article : « La Fixation de la croyance ». 1878 Publication de Photometric Researches, un traité d’astronomie. 1879 Publication en français de l’article « Comment rendre nos idées claires », dans la Revue philosophique. 1880-1881 Cours sur la philosophie de la logique à l’université Johns Hopkins.
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CHASLES MICHEL (1793-1880)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 333 mots
Né à Épernon, Chasles fut nommé professeur de géodésie et de mécanique à l'École polytechnique en 1841. En 1846, il devint professeur de géométrie supérieure à la Sorbonne. Indépendamment de ses travaux de mathématiques pures, mentionnons son Aperçu historique sur l'origine et le développement des méthodes en géométrie (1837), qui est encore une référence historique classique.
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THÉORIE DE LA TECTONIQUE DES PLAQUES
- Écrit par Florence DANIEL
- 1 561 mots
- 1 média
La tectonique des plaques est une formidable synthèse qui a révolutionné les sciences de la Terre ; elle est aujourd'hui confirmée dans ses grandes lignes par les mesures de géodésie spatiale.
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STOKES sir GEORGE GABRIEL (1819-1903)
- Écrit par Agnès LECOURTOIS
- 1 815 mots
- 1 média
Par ses travaux sur la variation de la gravitation à la surface de la Terre (1849), Stokes est un des initiateurs de la géodésie. En étudiant les raies obscures de Fraunhofer, Stokes suggère en 1854, avant la théorie de Kirchhoff, qu'elles sont dues à l'absorption de certaines longueurs d'onde par les atomes présents dans les couches superficielles du Soleil.