Gênant
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe présent
Définition
- qui gêne, cause de la gêne, fait souffrir
- qui empêche le libre mouvement
- qui impose une contrainte
Forme dérivée du verbe « gêner »
"gênant" dans l'encyclopédie
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CARRIER JEAN-BAPTISTE (1756-1794)
- Écrit par Jean TULARD
- 1 206 mots
Devenu gênant, il est rappelé à la demande de Robespierre ; la réaction thermidorienne, qui en fit le parangon de la Terreur, le fit juger et exécuter le 16 décembre 1794.
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CHARLES X (1757-1836) roi de France (1824-1830)
- Écrit par Guillaume de BERTHIER DE SAUVIGNY et Encyclopædia Universalis
- 2 518 mots
- 1 média
En émigration, il fut le centre de ralliement des éléments les plus agités et les plus contre-révolutionnaires, gênant parfois l'action plus prudente de son frère, le comte de Provence. Au printemps de 1814, il rentra en France à la suite des armées alliées en Lorraine, cherchant à provoquer, sans grand succès, un mouvement en faveur des Bourbons. Après l'abdication de Napoléon, et sans attendre l'invitation du gouvernement provisoire présidé par Talleyrand, il se présenta à Paris, où il fut reçu par les notables avec grand enthousiasme (12 avr.
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BÊTABLOQUANTS
- Écrit par François LHOSTE
- 4 461 mots
Certains sont des bêta-bloquants purs, certains sont dits agonistes partiels, parce qu'ils exercent un très faible effet stimulant sur le récepteur bêta ; d'autres sont dits cardiosélectifs, car ils ne bloquent que les récepteurs cardiaques ; d'autres enfin possèdent, comme la quinidine (effet quinidin like), en gênant les transports des ions, un effet stabilisant de membrane qui leur conférerait des propriétés antiarythmiques.
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BEN BARKA AL-MAHDI (1920-1965)
- Écrit par Emile SCOTTO-LAVINA et Encyclopædia Universalis
- 3 851 mots
- 1 média
Bouc émissaire à qui l'on imputait la responsabilité des désordres et des mécontentements, mais considéré néanmoins comme l'homme nécessaire à l'instauration d'un ordre politique fondé sur l'adhésion populaire, Ben Barka est à la fois indispensable et gênant. Il devait disparaître le 29 octobre 1965, en plein Paris, victime d'une conjuration préparée selon toute vraisemblance à l'instigation du général Oufkir, alors ministre marocain de l'Intérieur, et dans laquelle ont été impliqués un certain nombre de complices ou exécutants chérifiens et français.
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BERGER HANS (1873-1941)
- Écrit par Henri GASTAUT
- 4 548 mots
C'est l'abondance et la prolixité de ces communications, toutes présentées sous le même titre dans une même revue psychiatrique, à une époque de grave crise économique gênant les communications, dans une Allemagne déjà isolée du monde par le drame nazi, qui ont été responsables de l'indifférence, sinon de l'hostilité avec laquelle les neurophysiologistes ont accueilli la découverte de Berger.