Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

Gardénal

  • Nom masculin singulier

Définition

  1. en pharmacologie, nom de marque désignant un tranquillisant

"gardénal" dans l'encyclopédie

  • ÉPAULE-MAIN SYNDROME

    • Écrit par Jean-Paul CAMUS
    • 2 315 mots

    Des formes iatrogènes sont connues : le Gardénal, l'isoniazide, sont les principaux responsables. Dans bien des cas, le syndrome épaule-main est d'emblée rétractile, sans phase pseudo-inflammatoire, notamment dans les formes iatrogènes, au cours du diabète et de l'éthylisme. Le traitement du syndrome épaule-main comporte la Calcitonine à la première phase, la rééducation, la mécanothérapie par la suite et, bien entendu, la suppression des facteurs étiologiques lorsque cela est possible.

  • PORPHYRINES

    • Écrit par Alfred GAJDOS
    • 17 564 mots
    • 3 médias

    Un fait particulièrement important est le déclenchement de ces diverses manifestations cliniques par certains médicaments, les barbituriques (Gardénal, ou phénobarbital, etc.) étant les plus redoutables car un malade sur quatre est affecté de crises comitiales (épilepsie) qui semblent requérir l'usage de ce médicament. Quelques comprimés de Gardénal suffisent parfois pour provoquer un syndrome neurologique mortel.

  • DÉTOXICATION

    • Écrit par Jean-Paul LEROUX
    • 15 258 mots
    • 4 médias

    Un exemple typique d'un tel schéma de détoxication est fourni par le phénobarbital (ou gardénal, un barbiturique). Il subit tout d'abord l'action d'une enzyme de phase I, une mono-oxygénase à cytochrome P-450, qui fait apparaître une fonction hydroxyle —OH ; dans un second temps, une enzyme de phase II, l'UDP-glucuronosyltransférase, greffe sur cette fonction un groupement glucuronate (fig.

  • NAISSANCE Néonatologie

    • Écrit par Lucien MICHON
    • 23 365 mots
    • 2 médias

    Le traitement comporte : induction de la fonction de glycuro-conjugaison hépatique par le Gardénal ; photothérapie qui permet la dégradation de la bilirubine dans la peau par les rayons lumineux ; perfusion d'albumine qui fixe la bilirubine libre ; enfin exsanguino-transfusion avec un sang compatible avec celui de la mère et de l'enfant pour ne pas risquer d'aggraver l'hémolyse en cas d'incompatibilité fœto-maternelle.

  • CHIRURGIE

    • Écrit par Claude d' ALLAINES, Jean-Édouard CLOTTEAU et Didier LAVERGNE
    • 47 670 mots
    • 5 médias

    L'anesthésie par simple inhalation d'éther ou de chloroforme est progressivement complétée par les éléments suivants : – les médications préalables (morphine, gardénal...), qui conduisent en salle d'opération un malade calme et déjà somnolent ; – la possibilité de contrôler l'anesthésie par un circuit complètement clos (anesthésie en circuit fermé) ; ce qui, outre l'avantage d'éviter toute perte de gaz et d'en contrôler rigoureusement l'admission, permet de créer une pression positive dans les poumons : on maintient ainsi une respiration pulmonaire, même si les deux plèvres sont ouvertes (l'Anglais Magill créa cette méthode en 1928) ; – l'utilisation d'une grande variété de médicaments du sommeil : entre autres, les produits introduits par voie veineuse (le plus connu est le Penthotal) ; – l'adjonction de produits non anesthésiants par eux-mêmes, notamment le curare, ce poison violent dans lequel les Indiens trempaient leurs flèches ; purifié et débarrassé de ses composants toxiques par Mac Intyre (New York), il est introduit en 1942 par Griffith (Montréal).

Recherche alphabétique

Le Dictionnaire Cordial comporte plus de 120 000 entrées. Il reconnaît les formes fléchies (féminin, pluriel, conjugaison des verbes). Les noms propres ne sont pas pris en compte.