Gent
- Nom féminin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- (vieilli) gent il, joli
Employé comme nom
- nation, race
"gent" dans l'encyclopédie
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ESQUISSE, genre littéraire
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 336 mots
Autres esquisses célèbres, Le Carnet d'esquisses de Geoffroy Crayon, gentilhomme (The Sketch Book of Geoffrey Crayon, Gent., 1819-1820) de Washington Irving, description des paysages et des coutumes anglaises à l'intention des lecteurs américains.
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HARSHA, roi de l'Inde (606-647)
- Écrit par Jean VARENNE
- 1 444 mots
La foi bouddhiste de Harsha se manifeste dans la deuxième pièce où le héros parvient à convertir Garuda (l'aigle divin, ennemi-né des serpents) à l'idéal de non-violence (ahimsa) : les reptiles n'auront dès lors plus rien à craindre de la gent ailée. Les deux autres pièces sont des comédies de harem où l'on voit un roi s'éprendre d'une jeune servante.
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PETRITZOS
- Écrit par Jean GOUILLARD
- 1 775 mots
La gent grecque, « naturellement cupide et envahissante », sera exclue, à l'exception du notaire dont on ne peut se passer pour les rapports avec l'administration hellénophone. Le monastère ne relèvera que de Dieu, héritier unique du fondateur, et sera exempt de toute charge. L'higoumène en sera élu par l'ensemble de la confrérie. Enfin, les moines s'inspireront d'un idéal de cénobitisme mesuré.
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FLANDRE ORIENTALE
- Écrit par Christian VANDERMOTTEN
- 2 381 mots
- 1 média
La province belge de Flandre orientale (Oost-Vlaanderen en néerlandais) a pour chef-lieu Gand (Gent) et compte cinq autres arrondissements (Saint-Nicolas, Termonde, Alost, Audenarde et Eeklo). Elle a une superficie de 2 982 kilomètres carrés et compte 1 560 000 habitants en 2023. Elle constitua, durant la période du rattachement de la Belgique à la France, le département de l'Escaut, correspondant à la partie orientale de l'ancien comté de Flandre, dont Gand était la capitale.
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BAUDIN JEAN-BAPTISTE (1811-1851)
- Écrit par Jean-Marie CONSTANT
- 2 639 mots
Élu représentant de l'Ain à la Législative, il siège à la Montagne, s'intéresse aux questions d'éducation, s'oppose à la droite et au prince-président Louis-Napoléon Bonaparte et se prononce pour l'action légale le 13 juin 1849 ; le 30 septembre 1850, il prend part à la conférence réunie à Mâcon par Alfonse Gent, mais il n'est pas impliqué dans le « complot de Lyon ».